En effet, coutumier des coups de sang, il avait surgi en plein milieu d'une réunion au Palais Bourbon sur l'accident de la centrale Fukushima au Japon, s'emportant bruyamment contre des voitures
ministérielles mal garées selon lui. Il était revenu à la charge dix minutes plus tard et le ton était alors monté.
Après l'incident, Maxime Gremetz avait également été exclu temporairement de l'Hémicycle (une première dans les annales) et avait écopé d'une privation de la moitié de son indemnité parlementaire
en avril et en mai.
Maxime Gremetz, qui fut député européen, conseiller régional de Picardie et conseiller municipal à Amiens, ne détiendra plus aucun mandat. Candidat aux élections cantonales fin mars à Amiens-Est,
il avait été battu au second tour.
Bref c'est la retraite.
Source : Hern