Britney Spears doit avoir engagé de nombreux « haters » dans son staff pour qu’à chaque fois ils réussissent à lui refourguer les visuels les plus simplistes et odieux qu’ils soient.
Après nous avoir joué le coup de la sorcière qui se retient de sourire sur la pochette de l’album : elle devient une sorte de travesti polonais pour la couverture de celle-ci. A s’y méprendre: on croirait un cliché extrait du dernier clip de Chris Cocker.
Seule consolation pour elle : La chanson se ramassera dans les règles de l’art. Peu de gens auront donc à être confronté à cette horreur.
Triste Réalité !