Toujours prêt à tout pour sucer le sang des travailleurs le groupe Leclerc avait trouvé le moyen de ne pas compter les pauses dans le temps de Travail. Les
syndicats on eu gain de cause, mais les propriétaires par entêtement sont allés jusqu’au bout de la procédure judiciaire.
Par mépris pour les salariés, mais aussi par soif d imposer un pouvoir démesuré.
Il est regrettable que les amis du maire de Tarbes n’aient pas été lourdement condamnés pour cette infraction au code du Travail.
Nous attendons que les salariés de la librairie licenciés pour fait de grève soient enfin recompensés de leur longue bataille juridique contre leur ancien employeur.