Selon Michel Shneider qui est climatologue à Météo France, les sols sont semblables à ce que l'on pourrait normalement apercevoir en Juillet. L'assèchement des sols n'est pas à lui seul indicateur d'une sécheresse. En effet, il faut observer le niveau des nappes phréatiques. Force est de constater qu'en moyenne, le niveau est en moyenne 8 % inférieur à la moyenne avec des niveaux qui atteignent 30 % de déficit en Franche Comté. D'ailleurs trois autres départements devraient bientôt entrer en restriction d'eau, il s'agit de l'Ain, de l'Île-et-Vilaine et du Tarn-et-Garonne. Les écologistes sont inquiets des conséquences qu'un sécheresse pourrait avoir sur la parc nucléaire si jamais il devait y avoir un arrêt de réacteur. On voit bien qu'il serait difficile de refroidir les réacteurs. Rappelons que l'agriculture ponctionne 60 % de l'eau consommée sur le territoire. Aurons-nous des problèmes avec les récoltes et l'alimentation ?
Selon Michel Shneider qui est climatologue à Météo France, les sols sont semblables à ce que l'on pourrait normalement apercevoir en Juillet. L'assèchement des sols n'est pas à lui seul indicateur d'une sécheresse. En effet, il faut observer le niveau des nappes phréatiques. Force est de constater qu'en moyenne, le niveau est en moyenne 8 % inférieur à la moyenne avec des niveaux qui atteignent 30 % de déficit en Franche Comté. D'ailleurs trois autres départements devraient bientôt entrer en restriction d'eau, il s'agit de l'Ain, de l'Île-et-Vilaine et du Tarn-et-Garonne. Les écologistes sont inquiets des conséquences qu'un sécheresse pourrait avoir sur la parc nucléaire si jamais il devait y avoir un arrêt de réacteur. On voit bien qu'il serait difficile de refroidir les réacteurs. Rappelons que l'agriculture ponctionne 60 % de l'eau consommée sur le territoire. Aurons-nous des problèmes avec les récoltes et l'alimentation ?