En effet, les agriculteurs et éleveurs peuvent amener leurs plants/animaux s’ils suspectent que ceux-ci soient malades. Certains agriculteurs vont jusqu’à faire 70 kilomètres pour assister à ces réunions. La traçabilité des infections est aussi importante. En effet, quoi de plus mauvais qu’un éleveur qui décide de s’implanter dans une zone où plusieurs maladies ont déjà été répertoriées ? Le but de ces cliniques est d’endiguer les maladies et de s’assurer de la sécurité alimentaire. Il y a déjà eu 6,8 millions de livres investis dans ce projet par le Royaume-Uni et la Suisse (1 million par le R.U et 5,8 millions par la Suisse). Celles-ci espèrent que 400 cliniques de ce types seront mises à la disposition de 40 pays en voie de développement. Trevor Nicholls, directeur général du CABI nous explique qu'il y a déjà des cliniques dans 15 pays de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique du Sud.
En effet, les agriculteurs et éleveurs peuvent amener leurs plants/animaux s’ils suspectent que ceux-ci soient malades. Certains agriculteurs vont jusqu’à faire 70 kilomètres pour assister à ces réunions. La traçabilité des infections est aussi importante. En effet, quoi de plus mauvais qu’un éleveur qui décide de s’implanter dans une zone où plusieurs maladies ont déjà été répertoriées ? Le but de ces cliniques est d’endiguer les maladies et de s’assurer de la sécurité alimentaire. Il y a déjà eu 6,8 millions de livres investis dans ce projet par le Royaume-Uni et la Suisse (1 million par le R.U et 5,8 millions par la Suisse). Celles-ci espèrent que 400 cliniques de ce types seront mises à la disposition de 40 pays en voie de développement. Trevor Nicholls, directeur général du CABI nous explique qu'il y a déjà des cliniques dans 15 pays de l'Afrique, de l'Asie et de l'Amérique du Sud.