Buzz : Depuis le temps qu'on l'attendait (au moins deux Festivals de Cannes), The Tree of Life ne pouvait que créer l'événement. Seul film présenté sous la bannière étoilée, le nouveau Terrence Malick n'en finit pas de faire parler de lui.
Parce qu'un Malick, ça se mérite (5 films en 38 ans - soit presque l'inverse de Woody Allen), parce que c'est une oeuvre très personnelle (une telle histoire a forcement été en partie vécue) et parce que comme tout ses films, chaque plan est une toile de maître, The Tree of Life mérite d'être vu.