Dans l’énoncé des faits constitutifs des délits qu’on semble reprocher à DSK figure désormais la fameuse pipe de trop. Soit.
Mais elle pose quatre questions brûlantes:
1.- la femme de chambre pouvait rebrousser chemin en apercevant l’éphèbe nu. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? ne serait-ce que par politesse?
2.- la même n’est plus une enfant. Elle pouvait au pire mordre « le violeur » avec les conséquences rapides que l’on imagine ou plus simplement refuser toute mise en bouche.
3.- la femme de chambre disposait forcément d’un passe pour sortir, puisqu’elle est entrée seule. Séquestration quand on a la clé ? et qu’on finit par sortir par ses propres moyens ?
4.- que faisait et où se trouvait la sécurité rapprochée de DSK ?