Notre civilisation vacille. Ses repères sont devenus incertains. Ses valeurs se dissolvent dans la seule valeur qui n’est pas morale et qui pourtant domine toutes les autres : l’argent.(tiré d'une chronique de Richard3.com)Alors de l'argent, parlons-en ...dernièrement, l'hebdomadaire "Moustique" faisait la "UNE" de son magazine avec comme titre "GENERATION 1000€". En lisant l'article, je pouvais tirer une conclusion évidente, comment cette génération va-t ‘elle pouvoir s'assurer une retraite suffisante et raisonnable dans les décennies à venir en s'appuyant exclusivement sur l'existence encore de la sécurité sociale (pour la petite Belgique la SECU est encore un exemple au niveau mondial), l’europe toute entière refuse à ses jeunes une place dans la société. Conséquence évidente avec le vieillissement de la population le système libéral capitaliste pousse vers un système qui obligera le citoyen a se constituer l'épargne indispensable pour survivre après la vie professionnelle, mais pour se constituer un minimum vital, faudrait-il encore que les intéressés aient la possibilité d'épargner, mais avec des salaires qui ressemblent furieusement aux aumônes que les aristocrates laissaient aux travailleurs indigents du siècle dernier, les travailleurs seront pris au piège de la droite capitaliste et d'ici quelques années , nous serons retourné à l'époque de "GERMINAL" , c'est ce que veux la droite pure et dure...les riches plus riches, les pauvres plus pauvres...mais au-delà de cette situation caricaturale et pourtant tout à fait réaliste.Stéphane Hessel qui affiche 93 printemps et naturellement une sagesse bien digne de son grand âge, mais aussi et surtout par son parcours à travers la vie qui fut la sienne, une vie pleine dans tous les sens du terme, un homme qui fut à l'origine de la constitution "Des droits de l'homme", un homme qui fut un résistant durant la seconde guerre mondiale, un homme qui est né à Berlin en 1917, d'un père juif écrivain, Franz Hesssel et d'une mère peintre et mélomane, Helen Grund, écrivaine elle-même. La famille s'installe en France, à Paris en 1924. Un homme qui fut arrêté par la Gestapo , torturé et envoyé à Buchenwald, cet homme s’indigne de la société actuelle et il dit »Il nous appartient de veiller tous ensembleà ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers : pas cette société des sans-papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la SECURITE SOCIALE, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance. » Pour Stéphane Hessel, le « motif de la Résistance, c’était l’INDIGNATION ». Certes, nous ne sommes plus au temps du nazisme, mais la course au « toujours plus », à la compétition, la dictature des marchés financiers etc.. Comme hier, il faut AGIR en réseau, comme lorsqu’il appelle à une « insurrection pacifique ». Il est plus que temps que cette « génération 1000€ » réagisse à la montée grandissante du capitalisme. « Le capitalisme nuit gravement à la santé »….Prenez la peine de réécouter Stéphane Hessel en allant sur le lien ci-dessous et comme lui résistons à l’indifférence.
Les civilisations sont comme les arbres. Elles sortent de terre, s’épanouissent jusqu’à devenir grandioses, puis quelques rameaux meurent, enfin c’est l’ensemble qui s’abat, tout comme un chêne qui se couche, perd peu à peu son contour rongé par les mycoses et les insectes, pour être finalement digéré par les collemboles.
Notre civilisation vacille. Ses repères sont devenus incertains. Ses valeurs se dissolvent dans la seule valeur qui n’est pas morale et qui pourtant domine toutes les autres : l’argent.(tiré d'une chronique de Richard3.com)Alors de l'argent, parlons-en ...dernièrement, l'hebdomadaire "Moustique" faisait la "UNE" de son magazine avec comme titre "GENERATION 1000€". En lisant l'article, je pouvais tirer une conclusion évidente, comment cette génération va-t ‘elle pouvoir s'assurer une retraite suffisante et raisonnable dans les décennies à venir en s'appuyant exclusivement sur l'existence encore de la sécurité sociale (pour la petite Belgique la SECU est encore un exemple au niveau mondial), l’europe toute entière refuse à ses jeunes une place dans la société. Conséquence évidente avec le vieillissement de la population le système libéral capitaliste pousse vers un système qui obligera le citoyen a se constituer l'épargne indispensable pour survivre après la vie professionnelle, mais pour se constituer un minimum vital, faudrait-il encore que les intéressés aient la possibilité d'épargner, mais avec des salaires qui ressemblent furieusement aux aumônes que les aristocrates laissaient aux travailleurs indigents du siècle dernier, les travailleurs seront pris au piège de la droite capitaliste et d'ici quelques années , nous serons retourné à l'époque de "GERMINAL" , c'est ce que veux la droite pure et dure...les riches plus riches, les pauvres plus pauvres...mais au-delà de cette situation caricaturale et pourtant tout à fait réaliste.Stéphane Hessel qui affiche 93 printemps et naturellement une sagesse bien digne de son grand âge, mais aussi et surtout par son parcours à travers la vie qui fut la sienne, une vie pleine dans tous les sens du terme, un homme qui fut à l'origine de la constitution "Des droits de l'homme", un homme qui fut un résistant durant la seconde guerre mondiale, un homme qui est né à Berlin en 1917, d'un père juif écrivain, Franz Hesssel et d'une mère peintre et mélomane, Helen Grund, écrivaine elle-même. La famille s'installe en France, à Paris en 1924. Un homme qui fut arrêté par la Gestapo , torturé et envoyé à Buchenwald, cet homme s’indigne de la société actuelle et il dit »Il nous appartient de veiller tous ensembleà ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers : pas cette société des sans-papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la SECURITE SOCIALE, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance. » Pour Stéphane Hessel, le « motif de la Résistance, c’était l’INDIGNATION ». Certes, nous ne sommes plus au temps du nazisme, mais la course au « toujours plus », à la compétition, la dictature des marchés financiers etc.. Comme hier, il faut AGIR en réseau, comme lorsqu’il appelle à une « insurrection pacifique ». Il est plus que temps que cette « génération 1000€ » réagisse à la montée grandissante du capitalisme. « Le capitalisme nuit gravement à la santé »….Prenez la peine de réécouter Stéphane Hessel en allant sur le lien ci-dessous et comme lui résistons à l’indifférence.
Notre civilisation vacille. Ses repères sont devenus incertains. Ses valeurs se dissolvent dans la seule valeur qui n’est pas morale et qui pourtant domine toutes les autres : l’argent.(tiré d'une chronique de Richard3.com)Alors de l'argent, parlons-en ...dernièrement, l'hebdomadaire "Moustique" faisait la "UNE" de son magazine avec comme titre "GENERATION 1000€". En lisant l'article, je pouvais tirer une conclusion évidente, comment cette génération va-t ‘elle pouvoir s'assurer une retraite suffisante et raisonnable dans les décennies à venir en s'appuyant exclusivement sur l'existence encore de la sécurité sociale (pour la petite Belgique la SECU est encore un exemple au niveau mondial), l’europe toute entière refuse à ses jeunes une place dans la société. Conséquence évidente avec le vieillissement de la population le système libéral capitaliste pousse vers un système qui obligera le citoyen a se constituer l'épargne indispensable pour survivre après la vie professionnelle, mais pour se constituer un minimum vital, faudrait-il encore que les intéressés aient la possibilité d'épargner, mais avec des salaires qui ressemblent furieusement aux aumônes que les aristocrates laissaient aux travailleurs indigents du siècle dernier, les travailleurs seront pris au piège de la droite capitaliste et d'ici quelques années , nous serons retourné à l'époque de "GERMINAL" , c'est ce que veux la droite pure et dure...les riches plus riches, les pauvres plus pauvres...mais au-delà de cette situation caricaturale et pourtant tout à fait réaliste.Stéphane Hessel qui affiche 93 printemps et naturellement une sagesse bien digne de son grand âge, mais aussi et surtout par son parcours à travers la vie qui fut la sienne, une vie pleine dans tous les sens du terme, un homme qui fut à l'origine de la constitution "Des droits de l'homme", un homme qui fut un résistant durant la seconde guerre mondiale, un homme qui est né à Berlin en 1917, d'un père juif écrivain, Franz Hesssel et d'une mère peintre et mélomane, Helen Grund, écrivaine elle-même. La famille s'installe en France, à Paris en 1924. Un homme qui fut arrêté par la Gestapo , torturé et envoyé à Buchenwald, cet homme s’indigne de la société actuelle et il dit »Il nous appartient de veiller tous ensembleà ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers : pas cette société des sans-papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la SECURITE SOCIALE, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance. » Pour Stéphane Hessel, le « motif de la Résistance, c’était l’INDIGNATION ». Certes, nous ne sommes plus au temps du nazisme, mais la course au « toujours plus », à la compétition, la dictature des marchés financiers etc.. Comme hier, il faut AGIR en réseau, comme lorsqu’il appelle à une « insurrection pacifique ». Il est plus que temps que cette « génération 1000€ » réagisse à la montée grandissante du capitalisme. « Le capitalisme nuit gravement à la santé »….Prenez la peine de réécouter Stéphane Hessel en allant sur le lien ci-dessous et comme lui résistons à l’indifférence.