Nous étions à quelques 10 000 kilomètres de la maison depuis cette nuit, mais après autant d’heures de vol nous étions tout les deux crevés et la première chose qui nous avait été indispensable en arrivant avait été d’aller nous coucher ! Nous n’avions donc pas vraiment remarqué toute la beauté de l’endroit; il faut dire que quand on a les yeux qui ferment tout seul, c’est difficile de voir ce qui nous entoure, puis dans la pénombre de notre arrivée tout nous semblait si pareil qu’à la maison… C’est vrai aussi que nous étions passé par l’arrière et que l’on nous avait accueillit directement dans le parking pour rapidement nous permettre d’aller nous coucher, donc nous n’avions rien vue de tout ce que l’endroit avait à nous offrir…
À l’aurore, je me suis fait réveiller par la douce odeur du café, pas celui de la maison, quelque chose de beaucoup plus sucré comme odeur, avec des effluves qui m’étaient totalement inconnu, peut-être de la menthe, je n’en sais trop rien… Chose certaine, quand j’ouvris les yeux elle était là à se préparer et dès qu’elle me vie m’asseoir sur le bord du lit elle m’apporta le divin breuvage, que je bus après l’avoir langoureusement embrassé. Elle était encore plus belle qu’à l’habitude.
Je remarquai alors tout le charme de notre chambre, n’ayant rien vue lors de notre arrivée, étant tout les deux brulés nous nous étions couchés sans même ouvrir les lumières ! On avait donc cherché à tâtons le lit et, une fois trouvé, nous étions tombés dans les bras de Morphée. L’endroit respirait l’exotisme, tout était différent de ce que l’on connaissait, mais en même temps c’est cela que nous recherchions à chaque année pour passer de belles vacances. Quelque chose qui nous dépayse complètement, qui nous montre un autre visage de notre terre…C’était toujours aussi grisant de découvrir de nouveaux décors, de voir ce que les cultures différentes de la nôtre pouvait réaliser en matière d’architecture, de décoration, d’habillement et de tant d’autre choses. Pourtant, malgré nos différences, on réussissait toujours à se retrouver sur certains points. Il était même fort facile de discuter avec eux la plupart du temps, pour cela, pour leur accueil, leur contact facile et malgré la barrière de la langue souvent, nous adorions voyager.
C’était même rendu pour nous une priorité, nous avions besoin de cette coupure, au moins une fois par année, sans cela nous ne nous sentions plus vivre pleinement. Cela nous permettait de refaire le plein d’énergie et pourtant c’est pas parce que l’on restait assis à rien faire ! On passait notre majeur partie du temps à se promener, d’un site à un autre, nous étions des boulimiques de l’exploration, nous avions besoin de découvrir, nous voulions tout voir et savoir sur les us et coutumes des endroits que nous visitions !
C’est donc déjà charmé par l’endroit que nous sommes sortis prendre l’air. Nous avions une rencontre avec notre agent de voyage, mais comme il était trop tôt encore, nous en avons profité pour aller nous promener un peu. Sur le site nous avons découvert tant de choses que seuls les mots ne peuvent décrire, c’est d’ailleurs ce que j’ai dit lors de mon retour au Québec à mes amis. Il faut vivre ce genre d’expérience pour savoir de quoi on parle, les mots sont trop vides de sens pour exprimer tant de charme et de beauté !Ce texte était malheureusement qu’une fiction, un jour peut-être… Pour le moment je n’ai eu la chance de voyager que dans le sud, à Varadero à Cuba et à Puerto Plata en République Dominicaine.
C’était ma contribution pour le mois de mai à la rédac’ du mois, dont le sujet était l’exotisme. Je vous invite à allez aussi lire le point de vue des autres blogueurs : Agnes, Hibiscus, Julie, Julie, Liam et Lodi. N’hésitez pas à laisser vos commentaires sur leurs textes aussi !