In My Mailbox a été mis en place par Kristi du
blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre
boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.
Les liens sont regroupés sur le blog La bibliothèque de Lilie.
Jeudi 4 juin 1964, dans une cité d'Orly… le narrateur, quinze ans, déjà grand pour son âge, hésite.
Doit-il finir ses devoirs, et ainsi obéir à sa mère, adorable, dure à cuire et débordée par ses nombreux enfants ? Doit-il passer la journée avec un de ses amis, futur loulou caché sur le toit et
qui s'imagine, en ce jour anniversaire, abattant John-Fitzgerald Kennedy ? Ou doit-il rejoindre la belle Marie-France, qui habite en face, presque en face, et enfin l'embrasser, sinon mieux ?
" J'ai longtemps rêvé que ma mère était noire. Je m'étais inventé une histoire, un passé, pour
fuir la réalité à mon retour d'Afrique, dans ce pays, dans cette ville où je ne connaissais personne, où j'étais devenu un étranger. Puis j'ai découvert, lorsque mon père, à l'âge de la retraite,
est revenu vivre avec nous en France, que c'était lui L'Africain. Cela a été difficile à admettre. Il
m'a fallu retourner en arrière, recommencer, essayer de comprendre. En souvenir de cela, j'ai écrit ce petit livre. "
Un matin, la cantatrice Sophia Siméonidis découvre, dans son jardin, un arbre qu'elle ne connaît
pas. Un hêtre. Qui l'a planté là ? Pourquoi ? Pierre, son mari, n'en a que faire. Mais la cantatrice, elle, s'inquiète, en perd le sommeil, finit par demander à ses voisins, trois jeunes types un
peu déjantés, de creuser sous l'arbre, pour voir si... Quelques semaines plus tard, Sophia disparaît tandis qu'on découvre un cadavre calciné. Est-ce le sien ? La police enquête. Les voisins
aussi. Sophia, ils l'aimaient bien. L'étrange apparition du hêtre n'en devient
que plus énigmatique.
À la manière d’un cabinet de curiosités, ce nouvel ouvrage
de Jean d’Ormesson regroupe une centaine de chroniques qui, tour à tour érudites ou polémiques, séduisent par leur fraîcheur, surprennent par leur actualité. Trente, voire quarante ans après leur
première publication, elles continuent de nous transporter tout à la fois hors du temps et au cœur de notre temps. Aussi sûrement qu’une autobiographie, elles dessinent le portrait de leur
auteur, témoin ironique et émerveillé du monde.
Lenah n’est plus la vampire cruelle et sanguinaire qu’elle
fut pendant plus de cinq cent ans. Aujourd’hui son voeu le plus cher vient de se réaliser. Elle est redevenue humaine, grâce à un rituel pratiqué par Rhode, son âme-soeur depuis des siècles. Mais
comment vivre dans la peau d’une jeune fille de 16 ans quand on a presque tout oublié de l’amour et de l’amitié ? De plus, même sous l’apparence d’une lycéenne ordinaire, Lenah doit rester sur
ses gardes : le clan de vampires sur lequel elle a autrefois régné est prêt à tout pour faire revenir sa souveraine…
Anita Blake a un boulot peu passionnant :
réveiller les morts. Pas pour engendrer des armées de zombies, juste pour tirer au clair des histoires de testaments. Dans ce monde où vampires, goules, loups-garous se baladent librement dans la
rue, où le troll des montagnes est une espèce protégée, rien de bien excitant. Heureusement, elle est aussi exécutrice officielle de vampires. Et elle fait ça vraiment bien. Avec cette série
initiée en 1999, Hamilton peut être considérée comme pionnière de la bit-lit. Mais ne vous attendez pas à des romances sirupeuses et des scènes de pâmoison devant de ténébreux suceurs de sang.
Car quand Anita parle, elle a la repartie et le cynisme bien pendus, quand Anita sort sa pétoire, elle n’amuse pas la galerie. Et comme elle le dit si bien : « Je ne sors pas avec les vampires.
Je les tue. ». Une série parfois sombre, parfois torride, mais toujours remplie d’action.
Chez Merlotte. L’orage gronde derrière les vitres,
trop fort pour être tout à fait naturel. Sookie et les habitués de Bon Temps vont bientôt comprendre qu’ils ont été piégés par une créature qui se nourrit de leurs émotions… et promet de les tuer
un par un si sa faim n’est pas assouvie. Pour survivre, ils devront lui livrer leurs secrets les plus honteux. Une histoire entièrement inédite par le producteur et les scénaristes de la série
télévisée.
Ma Chronique ici
Ash est un farlander, un "homme du lointain" venu d'une île où les hommes ont la peau noire. Il appartient à un ordre d'assassins d'élite, les Rõshun, qui
fournissent une protection fondée sur la vendetta: qui menacerait la vie de leurs clients deviendrait leur cible. Nul ne s'y risque, car nul n'échappe aux Rõshun.
Mais Ash est vieux et malade. Le temps est venu de prendre un apprenti qui lui succèdera. Il
choisi Nico, un gamin de la cité de Bar-Khos, assiégée depuis dis ans, dernière à résister à un empire d'une atroce cruauté. Affamé, désespéré, Nico n'a pas de meilleur choix que de suivre le
vieil homme au monastère des Rõshun où il apprendra le meurtre, mais aussi l'amitié et l'amour...
Le jour où l'héritier de l'Empire égorge délibérément une jeune fille portant le sceau des Rõshun, l'ordre
exige d'assassiner l'homme le mieux protégé du monde.
Les Rõshun échouent l'un après l'autre. Ash se propose, il n'a plus rien à perdre. Le jeune Nico l'accompagne.
Et vous, vous avez fait des achats ?