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Douce Nuit Sanglante 4

Publié le 14 mai 2011 par Olivier Walmacq

douce_nuit_sanglante_4

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 1990
durée: 1h30

l'histoire: Une femme en feu tombe d'un toit. La vie de Kim, une journaliste bascule peu à peu dans l'horreur. Pour ses recherches, elle se rend dans une librairie spécialisée dans l'occultisme. C'est on premier pas vers l'intiation...

la critique d'Alice In Oliver:

Pour mémoire, j'avais déjà chroniqué les deux premiers volets de Douce Nuit Sanglante, le premier volet étant un slasher plus qu'honnête, et le second, un vrai foutage de poire, reprenant la plupart des séquences du précédent opus. Succès en vhs oblige, la saga continue !
Difficile de vous parler de Douce Nuit Sanglante 3 puisque je ne l'ai pas vu ! Mais ce numéro 4 est réalisé par Brian Yuzna, connu pour son humour noir excessif dans le genre gore et horrifique (Le Dentiste et Le Retour des Morts-Vivants 3, pour ne citer que ses deux-là).
Mais Brian Yuzna est un réalisateur inégal, capable parfois de bonnes choses, mais aussi de mauvaises surprises.
C'est d'ailleurs le cas de Douce Nuit Sanglante 4, en espérant qu'il s'agisse du dernier chapitre, tant ce nouvel opus ressemble à peu près à tout, mais surtout, à n'importe quoi !
Pour ceux qui connaissent un peu le principe de Douce nuit Sanglante, ils savent que le concept repose avant tout sur un père Noël assassin, marqué par son enfance traumatique, et revenant se venger à coup de hachette.
Il n'est plus question ici de Père Noël. Clairement, ce quatrième chapitre n'a plus aucun rapport avec les précédents volets.
Le film fait une brève allusion à un père noël criminel à travers une séquence de quelques sécondes...
Pour le reste, Douce Nuit Sanglante 4 met à l'épreuve une jeune femme, Kim, une journaliste, qui enquête sur un suicide mystérieux.
Kim s'intéresse alors au voisinage. Très vite, son petit ami change de comportement et elle est envoûtée par quelques bonnes femmes machiavéliques.
Il est question ici d'une secte maléfique, le film faisant clairement référence à Rosemary's Baby de Roman Polanski. Malheureusement, Brian Yuzna n'est pas Polanski, et ça se voit !
En résulte une série B horrifique plutôt gênante, l'intrigue ayant bien du mal à avancer, et les acteurs étant unanimement mauvais.
Un ratage complet. Que dire de plus ?
Note:
01/20
Note naveteuse: 16.5/20


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