Les crèmes solaires bio existe depuis une dizaine d’années déjà mais depuis un an, il y a vraiment du nouveau dans ce secteur puisque les nanoparticules sont interdites et que de nouvelles formulations sont arrivées !
Les crèmes solaires bio fonctionne avec des filtres minéraux qui réfléchissent et absorbent les UV. Outre tous les avantages de cette technique (photostabilité, pas de filtre de synthèse, pas de perturbateur hormonaux, pas de risque sur la flore et la faune …), il existait un vrai défaut, la texture. Les premières crèmes misent sur le marché étaient épaisse, difficile à étaler et laissaient un fil blanc sur tout le corps, dixit une cliente :”on aurait dit Casper à la plage”.
Pour remédier à ce problème, les fabricants ont réduis à moins de 100 nanomètres les particules de filtres solaires avec pour effet de pouvoir réduire la quantité de filtres minéraux et leurs visibilités. Si la texture n’était toujours pas au rendez-vous, les traces blanches étaient de plus en plus discrètes. (reste qu’étaler une crème épaisse sur un bout de chou tout excité, c’est compliqué !)
Puis face à la modification du cahier des charges biologiques qui interdis l’utilisation de nanoparticules, de nombreux fabricants ont jeté l’éponge (Weleda, Dr Hauschka) ou suspendu ces produits pendant plusieurs années ( Melvita) …
Mais l’année dernière, une crème qui avait demandé trois ans de recherche arriva sur le marché à savoir le solaire indice 50 de Gamarde (ou Phyt’s puisque c’est la même chose) : aucune traces blanches, texture fluide et indice élevé !
Cette crème a mis tout le monde d’accord par sa qualité et son avance technique. Depuis d’autres marques on suivit cette voie comme Kibio, Bioregena … Pour prouver ce que j’avance regardez les vidéos ci-dessous :