Tu n'as vraiment aucune dignité ! Tu n'offres aucune résistance, tu cèdes sans même défendre tes opinions.
- Pas étonnant dans ces conditions que tu prennes une déculottée, que tu sois battue à plate couture.
- Dans la vie il faut quelques fois savoir être culotté, avoir de l'audace, même si elle doit passer pour de l'effronterie.
- Tu sais je pense que, tout en ayant une robe, on peut porter la culotte, avoir l'autorité ?
- Mais arrête de me marquer à la culotte, d'être toujours dans mes jupes. Je vais finir par t'appeler pot de colle. Lâche moi les baskets comme je te le disais le 2 mars !
- Quant à "La main de ma sœur, etc" tu la retrouveras ici, si j'ose dire...
-
- Ne rêve pas, ma chérie ! Je n’ai pas l’intention de te déguiser en soldat avec un pantalon rouge, un burnous et une chéchia. Tu n’as pas besoin de ça pour faire le zouave : faire l’intéressante, le clown, le pitre, d’essayer de nous amuser. Non, tu n’as pas à forcer ton talent !
- Le zouave du Pont de l’Alma ? Tu l’as déjà vu. C’est l’œuvre de Georges Diébolt en hommage aux soldats de la guerre de Crimée. Au départ il y avait quatre statues . Il permet aux parisiens de voir le niveau des crues : 8, 62 mètres en 1910. Mais 9 mètres en 1658 http://lefildutemps.free.fr/crue_1910/cartes.htm
- Je pense que les zouaves pontificaux (de la garde du pape) ne sont pas vraiment ce qu’on appelle des rigolos. Mais, sait-on jamais ! http://pagesperso-orange.fr/david.colon/scpoS2/zouaves.pdf
- Pas très beau comme expression : “la main de ma sœur dans la culotte d’un zouave”. Les zouaves étaient paraît-il particulièrement virils.
- Et le commentaire de Momo en prime (où a-t-elle pris ses renseignements, la coquine ?) :
- Non, non Memphis ! Mais les culottes de zouave sont, tu l'as dit, fort large ce qui pouvait laisser supposer un "contenu" important flottant lui aussi librement dans lesdites culottes où la main de la soeur de je ne sais qui (il faudrait demander à God) allait à tâtons et en catimini les rechercher