Dіsjоnct'heure : pоème Pleure tаnt

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Pleure tant

Dans la suave rougeur de l'encadrement
Est émis une lueur d'un blanc permanent
Depuis la profondeur même du firmament
On perçoit la candeur parmis tous ses tourments
L'infinie grandeur de l'ordinaire émanant
Est telle que de peur un regard trop absent
N'effleurt pas même le contour de son présent
Dès lors nulle odeur n'apaise les détriments
Aucune jolie fleur parsème les tournants
Et seule la noirceur guide le cheminement
Du rêveur éveillé errant dans le néant
Cherchant à l'heure ce qui est enfouis maintenant
Détour de malheur l'éloignant de l'important
De son coeur à ouvrir qui se veut consolant

Postscriptum

';