Notre clin d'oeil mensuel, c'est ce que la chaîne italienne Rainews montre comme un bien curieux échange, à l'aéroport de Cap Canaveral, entre le Président Obama et le Général Wilson, le 29 avril dernier, quelques heures seulement après avoir donné l'ordre de tuer Oussama ben Laden.
Du grand art ! Main gauche, main droite, boulette de papier dans la main du Général qui en fait autant dans la sienne (réponse ?). Chacun range son carré de papier dans sa poche. Ni vu ni connu ... Echange digne des meilleurs James Bond ! Clap de fin ...
Etaient-ce des informations confidentielles sur Oussama Ben Laden, sur le raid effectué ? Le secret primordial de la Spear Opération Neptune ? Peut-être était-ce à propos de l'utilisation de l'hélicoptère Black Hawk qui fait tant couler d'encre au cours du raid qui impliqua des forces spéciales, des aéronefs, des navires, des drones, des satellites bien sûr et combien d'autres technologies nouvelles pour déloger un homme, non pas au fond d'un espace ultra compliqué mais à deux pas de la capitale pakistanaise ?
Comme nous le savons, le président Obama a donné le feu vert de l'opération le 29 avril à 08h20, dans la salle diplomatique depuis largement médiatisée à grand renfort de photos montrant Hilary Clinton fort inquiète. Puis il est parti pour l'Alabama. Selon les rapports, il avait rencontré son conseiller en sécurité nationale Thomas Donilon et d'autres collaborateurs de la sécurité nationale.
Comme l'a remarqué la chaîne italienne Rainews, quelques heures plus tard, arrivé à Cap Canaveral en Floride, Obama a "furtivement" glissé ce morceau de papier au général de la Force Aérienne le Général Ed Wilson au moment où ils se serrèrent la main, le général Wilson lui remettant un autre morceau dans la paume du Président. Des observateurs ont supposé que ces informations seraient liées à la demande expresse de confidentialité réclamée par le Président et le Gouvernement américains voire des félicitations discrètes car pour échanger des ordres, Barack Obama n'a besion d'aucun stratégème ...
Obama en James Bond des temps modernes, difficile à croire. Mais voilà de quoi alimenter encore un peu plus les idées les plus fantasques autour d'une affaire qui fait déjà couler beaucoup d'encre. La preuve, on en parle ...