Pour répondre à M6, qui continue de m'infliger des épisodes de « Pékin Express » de plus de trois heures pubs comprises, j'ai décidé de mon côté de n'en visionner qu'1h30, ce qui correspond, à mon avis, à la durée raisonnable d'une émission de ce type.
Quand je suis allée me coucher cependant, les aventuriers avaient du parcourir 7 km au Kenya. En effet, avant de décoller, il leur a fallu façon « fear factor » ou « Koh Lanta » déguster des trucs immondes, « des mets appréciés » dans le pays d'après le responsable de course Stéphane Rotenberg, puis faire la course pour arriver les premiers à l'étape intermédiaire afin d'emporter le droit de faire un safari et de dormir dans un somptueux hôtel.
A la première publicité, le suspense était de savoir qui seraient les trois équipes à gagner le safari. A la deuxième publicité, le suspense était de savoir qui serait finalement la quatrième équipe à gagner la même chose.
Je n'ai pas tenu jusqu'à la troisième, j'ignore donc si une cinquième équipe a eu sur le fil un droit semblable.
J'ai été lâche et j'ai tenu pour être rassurée sur le sort des jeunes mariés qui rêvaient de faire un safari pour voir des lions et des tigres. En revanche, je n'ai pas veillé suffisamment pour mesurer la déception du jeune homme qui a finalement gagné le droit de faire son safari mais qui n'a pas du voir de tigre. Enfin tout est possible dans « Pékin Express » désormais...
On parlait la semaine dernière de concept qui dégénère un peu, mais nous avons été déçues avec ma femme de constater que les grands gagnants de la journée emportaient un séjour dans un hôtel luxueux avec piscine et « ouaicé », je prononce WC à la belge, tels de vulgaires naufragés de « Koh Lanta » soucieux de se débarrasser de leur crasse après un mois d'aventure. Les perdants finalement plus chanceux selon la philosophie du jeu ont passé la nuit chez les Massaï.
Bref, à visionnage court, résumé court, j'ignore qui est parti, si César a finalement tenté d'étrangler le remuant Denis, ou si le couples d'inconnus célibataires a enfin conclu.