Des permis de construire ont déjà été distribués pour l'extraction de ce gaz. Cependant, mercredi 11 mai, l'Assemblée a approuvé un texte de loi visant à interdire la fracturation hydraulique. Cette fracturation hydraulique est perçue comme peu économe et polluante. En effet, des tonnes d'eau, de sable et de produits chimiques sont injectées à forte pression dans le sol afin de faire éclater la roche. Ces produits chimiques contaminent les nappes phréatiques. Par la votation de cette mesure, l'exploitation du gaz de schiste est momentanément compromise, du moins jusqu'à l'invention d'une nouvelle méthode d'extraction. Bien entendu, les permis d'extraction qui avaient été accordés ont été abrogés.
NB : Carte mondiale des principaux gisement de gaz de schiste (dans les pays étudiés).