genre: science fiction, comédie
année: 2002
durée: 1h35
l'histoire: 2080. Pluto Nash rend visite à un ami, Tony, qui tient sur la Lune, un club miteux. Mais leurs retrouvailles sont interrompues par deux hommes qui demandent à Tony de rembouser une forte somme d'argent. Pluto propose de reprendre l'établissement, dette comprise. Sept ans plus tard, Pluto reçoit la visite d'un des émissaires de Rex Crane, puissant propriétaire de caino, qui veut racheter l'établissement. Pluto refuse. Quelques minutes après, le club vole en éclats...
la critique d'Alice In Oliver:
Eddie Murphy fut l'acteur ou a fait partie des acteurs qui ont marqué les années 80. Et allez, reconnaissons-le, il brillera encore au début des années 90. Mais le plus célèbre acteur noir américain va également connaître sa phase de star has-been abonnée aux films pour enfants (Docteur Doolittle), aux comédies navrantes (Ecole paternelle) ainsi qu'aux mauvais choix horrifiques (Un vampire à Brooklyn).
Toutefois, dans tout ce champ de navets (en sachant que je n'ai cité que quelques exemples), Eddie Murphy peut se targuer d'avoir tourné probablement l'un des plus mauvais films de tous les temps.
En effet, Pluto Nash, réalisé par Ron Underwood en 2002, est souvent cité parmi les pires chiures jamais réalisées.
Il apparaît d'ailleurs souvent dans le classement des 50 pires films de tous les temps.
Mais Pluto Nash est-il l'abomination annoncée ? Sincèrement, oui. Après, je ne sais pas si ce film de science fiction ferait partie de mon classement des 50 pires navets du cinéma.
Toutefois, ça reste évidemment un très mauvais film entre SF et comédie. Le scénario est pour le moins inexistant.
C'est juste un prétexte pour laisser Eddie Muprhy nous gratifier de son numéro dont il a le secret. Sans compter une Rosario Dawson aux abonnées absentes.
Mais l'actrice a l'habitude d'être transparente dans ses rôles.
Humour lourdingue, pets, robots obsédés, aventures jamais passionnantes, effets spéciaux nazes, décors futuristes incroyablement laids, film grossier et putassier... Les qualificatifs ne manquent pas pour désigner Pluto Nash. Il est inutile d'en parler plus longtemps, ce film n'ayant aucun intérêt.
Même pas le charme d'un bon vieux nanar !