Les réserves d’eau des sous-sols sont très basses, comme en 1976. De plus, déjà au printemps, les sols étaient aussi secs qu’au mois de juin 1976. Le manque de pluie en automne a fait que les niveaux d’eau sont faibles. Cependant le manque de précipitation par rapport aux normales n’est que de 10 % aujourd’hui contre 20 % en 1976. Malheureusement les températures excessives font que l’eau s’évapore beaucoup plus d’après Michel Schneider. La situation est plus grave que la sécheresse de 1976, dans le Nord de la France, le manque d’eau a atteint des niveaux records. La seule chose à espérer, ce serait que des perturbations amènent pluie et baisse des températures, sinon l’agriculture et les récoltes de céréales telles que le blé ou de maïs risque d’en pâtir.