Le gouvernement actuel s'est empressé de démentir. Mais face aux manifestations qu'ont provoquées les propos de Farhat Rajhi, l'exécutif envisage déjà un report du scrutin. Officiellement, seulement s'il existe des "empêchements techniques et logistiques". En réalité, comme l'explique Vincent Geisser, chargé de recherche au CNRS, dans le Monde, pour beaucoup de formations politiques, une échéance électorale trop rapprochée favoriserait à coup sûr les islamistes d'Ennahda, ainsi que les anciens amis de Ben Ali. (photo : goingslowly, CC)
Le gouvernement actuel s'est empressé de démentir. Mais face aux manifestations qu'ont provoquées les propos de Farhat Rajhi, l'exécutif envisage déjà un report du scrutin. Officiellement, seulement s'il existe des "empêchements techniques et logistiques". En réalité, comme l'explique Vincent Geisser, chargé de recherche au CNRS, dans le Monde, pour beaucoup de formations politiques, une échéance électorale trop rapprochée favoriserait à coup sûr les islamistes d'Ennahda, ainsi que les anciens amis de Ben Ali. (photo : goingslowly, CC)