Tahiti, Île du vent
De l’aurore à la fin du jour, Tahiti tu nous parle d’amour.
Lorsque le Soleil se lève au petit matin, le champ du coq
Et des oiseaux, éveillent en chantant, ton écrin de velours.
Ton lagon agrémenté d’une nuance de bleus, est en accord.
Parfaite harmonie, pour ce petit paradis, paré de douceur.
Distante, la barrière de corail, esquisse un authentique décor.
Dans un véritable balai, les dauphins traversent l’océan,
Suivant ainsi le ferry, jusqu’à Moréa comme par magie,
Vous restituant, avec élégance, votre âme d’enfant.
Sur le quai, un bâteau vient de s’arrimer, majestueusement.
Accueilli par les vahinés, qui dansent au son des ukulélés,
Authentique félicité, que ce beau panorama envoutant.
Tes cartes postales, sont en conformité à la réalité de ta beauté.
Celui qui fait une halte dans ton univers, s’en retournera ébahi,
Ressourcé par ton accueil et le parfum enivrant, de tes fleurs de tiaré.
Solange Murcia
06/02/2011