Nous avions dans le temps commis une critique de cet ouvrage à la surprise de l’auteur :
Merci pour ton attention et ton commentaire… L’auteur est souvent surpris du regard du lecteur.
Ainsi, si j’ai souhaité écrire une histoire simple et tragique, jamais je n’avais pensé me référer aux règles de la tragédie classique. Mon modèle (dans un style très différent) était plutôt le Steinbeck de “Des souris et des hommes”, dont mon titre s’inspire et qui décrit l’arrivée sur une exploitation de deux ouvriers agricoles et la mort de l’un d’eux au bord d’une rivière. Mais je conviens que, s’il sait ce qu’il a voulu faire, l’auteur ne sait jamais ce qu’il a fait et que le lecteur est souvent plus perspicace et plus sagace que lui… Il est vrai aussi que, bien que je ne me soucie pas d’être “né quelque part”, j’ai été profondément marqué par mon adolescence entre Basse-Terre, Saint-Claude et Gourbeyre: tout le livre est né de là.
Merci encore. Amitiés. H.M.
http://halleyjc.blog.lemonde.fr/2011/03/05/note-de-lecture-de-negres-et-de-bekes-de-henri-micaux/
Et nous trouvons sur France-Antilles Hexagone quelques propos de l’auteur.
Ami lecteur nous te passons la main !