Les va-nu-pieds et/ou pro-Gbagbo qui semaient la terreur à Yopougon, Yop la belle pour les initiés, s’en sont allés, en semant à nouveau la terreur sur leur passage lors de leur fuite. Selon le ministère ivoirien de la Défense, ces jusqu’auboutistes ont pris la poudre d’escampette, en se dirigeant vers la frontière libérienne, en tuant des civils. 120 morts, parmi lesquels des femmes et des enfants, dans les villes d’Irobo, Grand Lahou, Fresco et dans la région de Sassandra, le long de littoral à l’ouest d’Abidjan.
Le Gouvernement ivoirien et celui du Liberia devraient, dans les prochaines heures, par des accords bilatéraux, traquer ces malfrats et bandits de grands chemins, qui sèment la mort pour les mettre hors d’état de nuire définitivement. Ils vivront sans doute de rapines en rançonnant et terrorisant des villageois mais, ils tomberont tôt ou tard. Tels des chats-huants et errants des ruines, sera leur vie, avant qu’ils ne payent leurs innombrables crimes, au nom d’un homme. Quel manque de discernement !
La mise en déroute à Yopougon par les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) de ces mêmes hulottes, a permis au moins une chose, on commence à dévoiler des charniers. A Yopougon, des fosses communes ont permis de découvrir 68 morts. Effectivement, uniquement et seulement dans les zones dites pro-Gbagbo où, les massacres ethniques ont toujours fait rage. Dans ce même Yopougon, on peut constater avec amertume que ces mercenaires, avaient pris en otage des hommes d’Eglise, qui ont été obligés de prendre la fuite vers l’étranger…
Le temps de l’impunité est terminé. Il faut de toute urgence, un rétablissement de l’Etat de droit et, ceci, sans passe-droit. Les criminels, tous ceux qui ont lancer des appels à la haine, les usurpateurs, tous en somme, sans exclusive, doivent rendre des comptes devant la justice. Point. Le reste n’est que verbiage vaseux et tentative de détournement de l’opinion par le mensonge…
La paix maintenant !