D’ailleurs, le pouvoir en place à d’autres chats à fouetter, notamment un redoublement d’efforts, si ce n’est plus, afin d’aboutir à la tenue des élections pour cette année 2011. L’organisme en charge, la CENI, y travaille d’ailleurs d’arrache-pied et ce en dépit des déclarations du directeur général de l’INSTAT comme quoi le recensement général de la population demanderait un budget d’environ 9 millions de dollars, rien que ça ! Mais bon, avec le Salon international des mines et des hydrocarbures en toile de fond, on arrivera bien trouver de quoi réaliser ce qu’il y a à faire. Petit paradoxe pourtant, l’absence des distributeurs pétroliers à ce salon, mais vu le bras de fer « perpétuel » que se livrent l’Etat et ces derniers, il est fort à parier que cette absence est une réaction difficultés induites par les prix fixés par l’État. Pareil situation se prévalant également de pressions de la part de différentes franges de la population, notamment des étudiants qui s’attendent à une ouverture officielle de l’année universitaire avant le 16 mai afin de d’éviter une année blanche. Les paramédicaux aussi sont montés une nouvelle fois au créneau, promettant un durcissement de leur mouvement en cas de non satisfaction de leurs revendications. Des affaires à suivre car sentant un peu le souffre…