En avril, nous avons décliné un dicton d’avril ; en mai, dit-on, fais ce qu’il te plaît. Et ce qu’il me plaît de faire en mai, ce sont des anagrammes. Prenons le fameux vers de Ronsard :
« Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose »
Mélangeons-en les lettres, toutes les lettres, qui le composent. Et créons ainsi de nouveaux vers.
Et tous ensemble, tous ensemble, ouais, nous écrirons un poème !
Ici à l’enthousiasme on voudra là-bas commémorer.
Commentaire normal : bravos, oiseau, chose du Mali !
La roche coule, mon ami, va au bain, tords mes os, rime.