L’organisation est immatriculée au Québec et elle fonctionne sous un code de déontologie pour que tous travaillent dans le respect des pratiques d’affaires saines. Les rencontres se tiennent sur une base volontaire une fois par mois… la structure est souple et, une fois l’an, un rassemblement a lieu pour coordonner le développement de l’Alliance.
L’Alliance internationale des éditeurs indépendants
L’Alliance internationale des éditeurs indépendants est une association à but non lucratif ; véritable réseau de solidarité – composé de 85 maisons d’édition et collectifs d’éditeurs de 45 pays différents – l’Alliance représente directement ou indirectement quelques 360 maisons d’édition.
L’Alliance organise des rencontres internationales et mène des actions de plaidoyer en faveur de l’indépendance. Elle soutient aussi des projets éditoriaux internationaux – soutien qui peut prendre la forme d’une aide à la traduction ou à la coédition. Enfin, l’Alliance contribue à la promotion et à la diffusion des productions du Sud et tente, modestement, d’inverser le sens « unique » des flux commerciaux. L’Alliance participe ainsi à une meilleure accessibilité des œuvres et des idées, à la défense et à la promotion de la bibliodiversité.
L’Alliance internationale des éditeurs indépendants a été créée en 2002 par un petit groupe d’éditeurs et par Étienne Galliand – ancien directeur et salarié de l’association.
L’Alliance est organisée en 5 réseaux linguistiques. Les documents de communication officiels sont publiés dans les trois langues de travail de l’Alliance : le français, l’espagnol et l’anglais. Cette limitation ne traduit aucune volonté politique ; elle correspond exclusivement à un nécessaire réalisme budgétaire, au vu du coût des traductions. Nous espérons que nos interlocuteurs lusophones, arabophones, persanophones – et tant d’autres ! – voudront bien l’en en excuser.
Lire plus au sujet de l’Alliance québécoise des éditeurs indépendants >>>>
Filed under: Ed. Dédicaces