C’est la présence du césium 134 qui inquiète le plus, celui-ci met 30 ans avant de se dégrader contre 2 ans pour le césium 131. Selon Didier Champion de l’Institut de Radioprotection de de Sûreté Nucléaire, les niveaux enregistrés sont normaux. En effet, les particules radioactives se seraient compactées grâce aux sédiments. Didier Champion rejette les spéculations autour d’une nouvelle fuite. En effet, s’il y avait une nouvelle fuite, l’eau à proximité de la centrale aurait vu sa radioactivité augmenter. Il serait important de mesurer continuellement la radioactivité car les poissons étant l’une des principales sources de nourriture en Asie, il est obligatoire d’observer comment ces rejets vont influencer l’écosystème marin.
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