Il arrive parfois qu’un couple d’acteur, un scénario, une histoire, des personnages, un film, confinent à la grâce. C’est le cas de ce remarquable « discours d’un roi ».
Précipitez-vous (si ce n’est déjà fait) dans les salles pour aller le voir. Même si le 2e mouvement de la 7e symphonie de Beethoven accentue inutilement la scène finale – bizarre, j’ai toujours associé ce morceau à la chute du IIe Reich – le film vous fera passer un excellent moment de cinéma, sans effets spéciaux, sans chichi, sans star système.