C’est justement la victoire grecque de 2007 qui a pétrifié Milan jusqu’à aujourd’hui pour le changement de génération. Et c’est en se rappelant de son immense erreur que la société ne postposera plus les choix douloureux pour tous les Rossoneri. En 2007, l’immobilisme de la société était une logique compréhensible de reconnaissance pour une équipe qui avait ensuite l’objectif de remporter le Mondial pour Club. Aujourd’hui, Milan a changé et a anticipé le mercato en cherchant dores et déjà les remplaçants de nos vieilles gloires. Mexès, Taiwo, Ganso ainsi que d’autres opérations mineures comme Pazienza, Lazzari et Astori, sans oublier la possibilité très concrète que Berlusconi nous offre un cadeau comme seul lui sait le faire. Regardez le rôle des joueurs suivis par le club et ceux qui sont en fin de contrat : une page peut se tourner afin de commencer un nouveau chapitre. Les adieux seront des plus touchants, douloureux, émouvants. Alors on aura bien besoin d’un beau Scudetto pour se consoler…
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