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Miami Horror

Par Moimateo

Comme je le disais en présentant Gun Street Girls, Melbourne est une vraie mine d’or au niveau musical. Aujourd’hui, parlons électro-pop, parlons Miami Horror.

Miami Horror


 

Influencé par les années 80, en particulier New Order, Le leader Benjamin Plant qui est aussi le producteur, Josh Moriarty, l’ex de Young & Restless, ainsi que Aaron Shanahans et Daniel Whitechurch, n’ont pas eu besoin de plus qu’un EP, Bravado, sorti en 2008 pour se faire un nom sur le territoire Australien.

Leur tournée festival en 2009 a d’ailleurs inclus la plupart des immanquables de l’Australie. On peut rajouter le fait que Phoenix a été bien soutenu par eux lors d’un tournée australienne en 2009-2010. Je ne présente aucun son et pourtant on se rend compte qu’ici ils sont incontournables.

Puis 2010 arrive et un album un vrai sort : Illumination. A l’heure du tout numérique, je reviens sur leur pochette. Vous savez cet emballage que l’on trouve autour du CD ? un CD ? Ah… Il y a du boulot si vous avez oublié ce que c’était qu’un disque audio. Qui me rappelle étrangement Apocalypse Now avec le couché de soleil sur un beau décor de fond. Mais là, l’astre, au lieu de se fondre dans le décor, est clairement devant l’arrière-plan, créant une sorte de paradoxe qui renvoie vers leur musique s’inscrivant complètement dans les années fluo alors qu’ils sont actuels.

Un aperçu de cet Illumination avec tout d’abord le single sorti en 2009 ?

Les clips sont d’ailleurs à l’image de leur musique comme le montre celui de Holidays :

Un dernier morceau pour la route, Soft Light. Ce serait un peu dommage d’être ballonné avant l’heure du repas.


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