Got him ! Le député socialo-sataniste du Nord Patrick Roy est DEAD à 53 ans des suites d’un cancer. Killed ! La nécessaire éviction d’une personne dangereuse pour la Brave Patrie s’est avérée être un âpre combat, mais en ce joli mois de mai tous les commentateurs s’accordent à dire que JUSTICE has been done.
Comme tout corrupteur en puissance, Patrick Roy attirait oreilles et regards, arborant rougeâtres oripeaux révélant l’ensanglantement des consciences que provoquait son idéologie blasphématoire et ne se privant jamais de saccager les superbes effets des glorieux orateurs du Gouvernement.
En sus d’encourager les Français à la pédophilie et les chômeurs à se complaire dans leur coupable inactivité – d’aucuns osent désormais confesser qu’il n’éprouvait aucune honte quant à sa députation du Nord – le maire de Denain exhibait avec fierté les Armes de Belzébuth.
WE GOT THE BASTARD !
Alors que la Sainte Vivante Christine Boutin et le Paladin Philippe de Villiers exprimaient avec courage et contre les lobbys gauchisto-pseudo-culturels la ferme volonté de mettre fin au festival de musique sataniste Hellfest [1], Patrick Roy montra son vrai visage. Il exhiba dans le Saint des Saints, dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale, une Bible démonique pour défendre les zélateurs de Lucifer, Lilith et consorts…. _ Et cela non seulement au mépris de la morale et du bon sens mais également de la laïcité républicaine.
VENGEANCE AT LAST !
Grâce à Dieu cependant, la Justice Divine a frappé l’homme à la veste rouge d’une juste sentence. Que tous les potentiels copycats se le tiennent pour dit : on n’emmerde pas impunément les vrais Gaulois car la JUSTICE est un plat qui se mange froid.
France nailed the bastard ! We win at last !
P.-S.
De chaleureux remerciements à nos confrères du Daily News de New York, du Daily News de Philadephie, du New York Post, du Washington Post et du Southtown Star pour leur aide précieuse dans la rédaction de cet article.
Notes
[1] Ou musique Métal, selon les normes du politiquement correct et dont Brave Patrie n’est jamais l’esclave.