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J’ho’oponopono-se

Publié le 03 mai 2011 par Jemesensbien

Je me rends malade pour un rien et suis limite désagréable avec les autres. Pour retrouver ma sérénité, je me mets à
l’Ho’oponopono et tout simplement, je me sens bien !

Je prends tout à cœur. Je manque d’humour d’ailleurs. J’ai peur. Je suis trop stressée. Je me prépare à un événement (grossesse, boulot). Je suis en surpoids. Je m’énerve pour un rien (genre contre ma voiture qui ne démarre pas justement ce matin où j’ai un gros RV). Je me mets souvent en colère contre les autres, limite agressive. Je m’impatiente quand les choses ne marchent pas comme je veux. Je porte facilement des jugements sur les autres… Il est temps que j’évolue !

methode zen
Suivez le guide !
À l’heure où tout va vite, trop vite, et mal, assez mal, pour ce petit humain que je suis dans cet univers infiniment grand, on est tous à se tourner vers les trucs et astuces de nos anciens pour se sentir bien. L’Ho’oponopono, une philosophie de la vie qui remonte à l’Antiquité et pratiquée par les Hawaïens, s’avère un formidable outil d’évolution personnelle pour trouver le chemin de la sérénité. C’est le Dr Luc Bodin, docteur en médecine diplômé en cancérologie clinique et spécialisé en médecines naturelles, qui avec Maria-Élisa Hurtado-Graciet, praticienne en PNL et autres techniques psycho-énergétiques, nous rappellent les bienfaits de « Ho’oponopono, Le secret des guérisseurs hawaïens », véritable « art » de vivre.

Ça sort d’où l’Ho’oponopono ?
L’Ho’oponopono, dans sa version actuelle, a été mis au point par la chamane hawaïenne Morrnah Simeona qui s’est servie d’un rituel utilisé autrefois dans les villages pour résoudre les problèmes communautaires. Ensemble réunis, ils partageaient leurs problèmes et conflits et se demandant pardon pour les pensées erronées qu’ils avaient entretenues.

Kesako l’Ho’oponopono ?
Ho’oponopono siginifie « corriger ce qui est erroné » ou « rendre droit » en hawaïen, c’est-à-dire revenir à ce qui est juste, corrigé des erreurs de pensée à l’origine de tous les problèmes survenant dans notre vie. C’est un formidable instrument d’évolution personnel qui soulage ma vie des conflits et tracasseries qui la composent, et de solutions en solutions, d’effacement de mémoire erronée en effacement, j’évolue, sans même m’en rendre compte. Enfin si je me sens plus light, et plus libre.

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Attitude hawaïenne pour rester zen

La version contemporaine de l’Ho’oponopono se pratique seul, c’est un processus de repentir, de « nettoyage » par l’amour et le lâcher-prise, une réconciliation avec soi-même, une manière de communiquer avec notre divinité intérieure, ce fameux « moi profond ».
L’Ho’oponopono est une attitude qui associe l’humilité, la responsabilité à 100 %, la foi et le lâcher-prise, le premier objectif étant de retrouver la paix intérieure… et donc ma véritable identité (adieu la trouillarde, la stressée, la vilaine, etc). Le gros avantage de cette méthode est que c’est simple et facile à intégrer dans mon quotidien, le pratiquant en solo (je ne suis dépendant de personne). L’Ho’oponopono n’est pas un but mais un chemin qui se gravit progressivement, et plus je le pratique et plus il devient facile et agréable, et me rend la vie joyeuse.

Et comment j’ho’oponopono-se, docteur ?
Alors pour arriver à l’état bienfaisant de l’Ho’oponopono, il y a plein d’outils simples pour m’aider :

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Le Dr Luc Bodin et Maria-Élisa Hurtado-Graciet

• Prendre des douches d’amour que je visualise (très sophrologie, que je peux pratiquer en solo à la maison, et qui s’adapte fort bien à la nutrition).
• Réciter les phrases du mantra de purification, doué d’un pouvoir exceptionnel (c’est un peu la méthode Coué que je pratique dès que je mollis).
• Pratiquer des exercices de respiration et de relaxation (très yoga que je pratique déjà version facile yoga plaisir).
• Prier, méditer (réputé anti-douleur).
• Parler au miroir, « la » façon de se regarder droit dans les yeux (non, pas regarder la beauté à la Blanche-Neige, mais la beauté intérieure).
• Mettre des Post-it partout dans la maison me rappelant de m’aimer avant toute chose (encore ma bonne méthode Coué, ça marche !).
• Jouer aux cartes, avec le jeu de cartes Ho’oponopono créé par Maria-Élisa Hurtado-Graciet.
• Assister à une conférence donnée par le Dr Luc Bodin.
• Et pourquoi pas suivre un stage d’Ho’oponopono, organisé par Maria-Élisa et son mari Jean Graciet.

Résultat des courses
En Ho’oponopono-isant, autrement dit en m’envoyant de l’amour à moi-même et en demandant pardon à ma mémoire, mes problèmes disparaissent à vue d’œil… Oui comme par enchantement ! Je me sens plus légère, plus fluide, libre et le soleil au-dessus de ma tête. Je garde le cap aisément, car je regarde droit devant moi et non ce qui au passage a le don de me contrarier. Adieu les blocages limitant ma course au bonheur, je crée ma propre vie. J’avance ! Comme le dit si justement Maria-Élisa Hurtado-Graciet : « Les événements glissent sur moi comme des gouttes d’eau sur les plumes d’oiseaux ».
Trop beau pour être vrai ? Allez j’expérimente, ça mange pas de pain comme on dit et si ça fonctionne, tout bénef pour moi et mes proches.

Attention, l’Ho’oponopono ne remplacera jamais la psychothérapie ni la psychiatrie dans les pathologies graves, mais il peut les compléter.

« Ho’oponopono », Collection Les Maxi Pratiques, 8,50 €, Éditions Jouvence. En librairie.
Voir les sites des auteurs :
• Dr Luc Bodin, www.medecine-demain.com
• Maria-Élisa Hurtado-Graciet, www.mercijetaime.fr et www.eveiletsante.fr

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