Révélation : c'est Jack Bauer qui aurait liquidé Ben Laden
Publié le 03 mai 2011 par Richard Kirsch
Au début , on aurait pu croire que la liquidation d'Oussama Ben Laden dans sa paisible ferme pakistanaise était dûe au boulot de Sam Fisher. Pas du tout Sam étant en plein boom avec la nouvelle version de Splinter Cell a refusé le boulot . Un peu gêné Barack Obama a donc chercher une solution de remplacement illico . John Rambo a tout de suite été écarté vu son âge avancé , Terminator fut jugé peu discret pour ce genre de mission et Jean-Claude Van Damme , dit "Van Dammage" affichait un QI un peu faiblard . Barack avait bien pensé à Bond, James Bond mais sa dernière histoire de cul avec TOUT un harem à Kaboul le grillait totalement . Liquidé Ben Laden en plein territoire pakistanais réclamait un vrai professionnel, un type en acier capable de ne pas lâcher le morceau si l'opération tournait mal. Barak Obama décrocha son téléphone rouge à la ligne hyper-méga crypté 64 bit hexadécimal et appela la CTU. "Jack Bauer speaking " put il entendre au bout du fil . Le président des Etats Unis lui présenta le topo en insistant sur la confidentialité absolue du projet et en revenant sur la complexité du job, à savoir trucider Oussama Ben Laden , avec l'accord du gouvernement pakistanais mais sans l'appui des services secrets locaux jugés peu fiables . "I copy that " répondit simplement Jack Bauer. Barack Obama sourit dans sa Ford Intérieur, il tenait l'homme de la situation : "Ecoutes Jack , tu as exactement 24 heures Chrono pour envoyer direct le client au paradis d'Allah" .Jack Bauer en avait vu d'autres. N'avait-il pas sauver l'Amérique huit fois de suite avec succès ? Chaque partie de son corps pouvait en témoigner , il en avait vraiment .. chier mais avait réussi. Après les ogives nucléaires, les armes bactériologiques, les bombes, etc. ce n'est pas une poignée de barbus et trois Kalachnikov qui allaient lui barrer la route . Barack Obama faisait appel à lui et au délà de la mission il pensait déjà à sa réélection à la tête du pays pour un second mandat . Jack Bauer ne connaissant pas le Pakistan saisit son guide Lonely Planet sur l'étagère du QG de la CTU et examina la région. Quelques minutes suffirent pour élaborer un plan d'attaque dont tout repli stratégique était exclu. Jack Bauer demanda au Pentagône deux faisceaux satellites, 14 drônes et trois F-16 d'appui , ainsi que 6 hélicoptères de combats puis enfila un gilet pare-balles neuf, le dernier ressemblant à un gruyère . Une fois sur place, arrivé dans ce bled paumé, Jack manquait cruellement d'informations précises sur les installations de la ferme. Après avoir torturé trois paysans et crévé quatre malheureuses chèvres soupçonnées de transporter des explosifs, Jack Bauer lança l'opération dont le nom secret est aujourd'hui révélé : "Ben Loden, une veste au terrorisme pour l'hiver " . Fallait le trouver. En une poignée de secondes chaque membre du commando reçu dans son oreillette l'ordre suivant : " Nettoyage à tous les étages guys !" . La surprise fut totale ! Oussama Ben Laden qui regardait son émission préférée à la télé : "Plus belle la vie" relayée en Arabe par la chaîne Al Jazira, n'en crut pas ses oreilles. Tant de raffut dans Plus Belle La vie ? Impossible en effet . Lorsque Jack Bauer fit erruption dans la pièce et balança trois fumigènes et quatre grenades d'assaut, la télé de Ben Laden tomba en rade . " Merde !! " aurait lancé alors Ben Laden " même pas le temps de voir la fin de l'épisode qu'il reçut une rafale de M16 entre les deux yeux . Jack Bauer regarda le chrono de sa montre (un cadeau Afibel de sa grand-mère) : " 23h 18 mn et 14 secondes . Pas mal ! Fuck I did It ." Barack Obama avait suivit toute l'opération avec tout l'état major du Flickr à la Maison Blanche dont Hilary Clinton. " YES ! put on entendre à la collégiale . Jack Bauer avait une fois de plus rendu un fier service à l'Amérique et à son président. Aujourd'hui le soleil brille à nouveau sur la Terre. Quelque part dans l'Océan un drôle de colis flotte entre deux eaux...Pas de dour martyr c 'est pourrir un peu.