IL n'y a pas que dans les pays industrialisés que les intérêt éconmiques priment parfois sur la santé de population et sur l'environnement. Comme le souligne un article publié dans Le Monde daté du 29 avril, l'Inde fait actuellement le choix de maintenir l'autorisation de production et de commercialisation d'un insecticide, l'Endosulfan, pour des raisons purement économique (concerver un marché estimé à 200 millions d'euros).
Il est vrai que dans ce pays les agriculteurs son particulièrement pauvre. Et rares sont les insecticides à bas prix, comme l'Endosulfan. Il s'agit donc non seulement d'un enjeu économique industriel, mais aussi pour la production agricole dans son modèle actuel. Modèle qui est en train d'évoluer, mais qui est encore très dépendant de la main d'oeuvre (peu chère).
Pour autant, au vu des différents éléments qui composent le dossier, la position du gouvrenement indien, demandant une exprtise scientifique sur la toxicité avant de s'exprimer, semble particulièrement outrageuse tant vis-à-vis des populations qu'au regard du principe de précaution qui commence à émerger à travers le monde entier.