Mes Chers Compatriotes,
Mon ami Pierre Lenuage, grand créateur devant l'Éternel ennui politique, a encore frappé très fort : pour préparer 2012, il s'est référé au Grand Georges (Brassens, bien sûr) (mais Clooney est bien aussi, si on aime le café) et vous a concocté un texte d'exception sur la musique de "Fernande". Ce type est réellement un génie. Je vous livre, ci-dessous ses paroles et l'adresse "youtube" de sa réalisation, pour avoir le son et l'image :
A l'approche des élections,
Moi j'ai pris l'habitude
D'agrémenter ma lassitude
Aux accents de cette chanson :
Quand je pense à Hollande, je bande, je bande,
Quand j'pense à Sarkozy, je bande aussi,
Quand j'pense à Ségolène, mon Dieu je bande à peine,
Et quand je pense à Bayrou, je n'bande plus du tout
La bandaison, Papa, ça n'se commande pas.
C'est cette mâle ritournelle,
C'est ce vibrant refrain,
Que fredonne le citoyen
Aux élections Présidentielles.
Quand je pense à Hollande, je bande, je bande.
Quand je pense à Aubry, je bande aussi.
Quand je pense à Mélanchon, je bande avec passion.
Et quand j'pense à Borloo, je ne bande plus trop.
La bandaison, Papa, ça n'se commande pas.
Afin de tromper son cafard,
D'avoir du baume au coeur,
Chante ainsi le brave électeur,
En s'engouffrant dans l'isoloir.
Quand je pense à Hollande, je bande, je bande,
Quand j'pense à Sarkozy, je bande aussi
Quand je pense à Strauss-Kahn, je bande comme un âne,
Mais quand j'pense à Vill'pin, là je bande un peu moins,
La bandaison, Papa, ça n'se commande pas
http://www.youtube.com/watch?v=2DvmMFRj6pA
N'hésitez pas à en abuser.
Bien à vous,
Jacques