Bali, Bali, Bali… Ca faisait plus de 15 ans que Val et moi souhaitions y poser les pieds. Et puis la vie et les opportunités ont fait que nous avions opté pour d’autres coins sur la planète. Alors que dire de cette rencontre tant attendue ? Simple : une réelle fascination pour cette culture et ce peuple souriant. Il est certain que Bali regorge de surprises. Les hommes (et les femmes) bien sur, avec qui nous avons eu l’occasion de partager quelques moments doux, humoristiques, sincères, étonnants. Certains visages me (nous) resteront sans doute longtemps en mémoire, comme par exemple ce peintre de masques à Ubud empreint d’un curieux mélange de gentillesse et de tristesse (du coup j’ai craqué sur ce superbe « God of Fire »).
Bali, bien sûr, c’est aussi ses superbes paysages de cartes postales. Si le pays basque est baptisé le pays des 1000 verts, à Bali vous pouvez aisément reprendre cette appellation et la multiplier par 10. A tel point que je dirais, du point de vue d’un photographe, que c’est beaucoup trop simple.
Mais la grosse surprise c’est incontestablement cet énorme savoir faire artisanal et ce goût prononcé pour le détail et le beau. Du coup, c’est un peu la course au sublime (presque) partout. The Cat m’avait pourtant prévenu, « Tu vas voir, ils ont de l’or dans les mains ces gens là« . Je ne peux que confirmer. Et du coup je comprends facilement pourquoi des hordes entières d’occidentaux foncent remplir des containers entiers afin d’alimenter des shop occidentaux ou équiper les lounges des bars branchés de la planète.
Quand au surf, mes posts précédents sont suffisamment clairs pour dire sans se tromper que Bali est une des Mecque de la glissade aquatique…