Le musée Dapper de Paris montre jusqu’au 10 juillet la merveilleuse exposition « Angola, figures Newton Last MOMA du pouvoir ». L’exposition organisée autour des objectifs artistiques du peuple d’Afrique centrale, nous introduit dans la complexe culture du pouvoir représenter en 140 masques, statuettes et objets de grande beauté.
Le musée Dapper a contribué à la connaissance des arts africains depuis sa création en 1986, au travers d’intéressante exposition qui invité rencontre de culture. Sa rigueur la convertit en un espace où l’on peut admirer tous les aspects culturels de la diaspora africaine en Europe, ouvre un espace pour la reconnaissance de sa riche production artistique.
L’Angola fut colonisé par les Portugais depuis 1982 et jusqu’à 1775, quand le dictateur Marcello Caetano fut renversé par le mouvement pour la libération d’Angola (MPLA) et l’union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola (UNITA). Après la chute de Caetano, commence un processus de décolonisation menée par Agostinho Neto, qui sera interrompue par une guerre civile de 25 ans.
Sa richesse culturelle est exprimée par neuf groupes ethnolinguistiques : les Quicongos, Quimbundu, Lunda-Quioco, Mbundo, Ganguela, Nhanheca-Humbe, Ambó, Herero et Xinndonga, qui se divise en plusieurs tribus. La culture de Lunda-Quico est intéressante, chasseurs dans la savane qui maintenait aires d’admirables écoles de cultures. Les Ganguelas développer aussi la céramique noire et polie, d’intéressants modèles artistiques, avec lequel il réalise des sculptures et une série de masques utilisés pour le rite d’initiation sexuelle masculine et d’autres activités sociales.
Dans cette première exposition en France dédiée aux arts angolais, peut-être visualisé l’actualisation du pouvoir et de la sexualité à travers d’objets à caractère magique et religieux, comme l’effigie du culte du dieu chasseur, Chibinda Ilunga, produit par le plus grand artiste angolais, Antonio Olé.
Antonio Olé est né à Luanda, en 1951. Le peintre, photographe et cinéaste fut célébré par la critique de sa première exposition au musée d’art afro américain de Los Angeles en 1944. Son travail artistique en photographie a été relayé avec histoire politique d’Angola, où la mort et la pauvreté se font présenter transcende spectateurs avec les douleurs de son peuple. Son œuvre conceptuelle Murs, composé d’une série de photos prises de façade des villes détruites par la guerre en Angola, exprime le nom fondement d’un conflit interminable.
Pour plus information : http://www.dapper.com.fr/exposition-en-cours.php
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