LA robe

Connaissez-vous ce sentiment de quête désespérée afin de trouver LA fameuse robe pour un mariage ou une soirée? Et bien ce n'est pas de cela que je veux vous parler aujourd'hui. Enfin, pas tout à fait.

Je vais étendre le champ d'action shoppesque afin que nous ne nous limitions pas aux simples « robes-qu'on-achète-pour-des-occasions-mais-qu'on-ne-porte-jamais » (Bon ok, moi la robe de gala je la porte pour aller chercher le pain face aux gens qui se demandent quel est cette huluberlue qui vient à la boulangerie en talons de 12 cm...)

Je ne sais pas vous, mais lorsque je fais du shopping je n'y vais pas pour quelque chose de précis, j'entre dans les boutiques et je fonctionne au coup de coeur. Bon des fois, il s'avère que ce ne soit pas réciproque. Les pantalons bleus, roses et autres robes moulantes se reconnaîtront...( Et pourtant, je les aimais...)

Lorsque j'ai trouvé quelque chose qui me plaît, je l'essaie, toujours. Je préfère encore l'attente à une déception dramatique une fois arrivée chez moi.

Et là, c'est un peu comme les coulisses d'un spectacle. On se change dans l'excitation de voir le résultat (sous la lumière peu flatteuse et les multi-miroirs pro-cellulite qui déjà vous gâchent l'entrée en scène, les mufles)

Une fois sortie de la cabine s'en vient alors le moment de l'appréciation. (Attention, je tiens à signaler qu'à ce moment là, je peux devenir extrêmement influençable face à douze vendeuses qui m'affirment être le sosie de Scarlett Johansson. Si, si)