Et à part quelques frémissements de ci de là, on n’entend personne dans la communauté internationale, non seulement pour dénoncer ce régime de brutes épaisses, mais pour faire en sorte que les morts cessent.
Un Syrien vaut-il moins qu’un Libyen ?
Ou alors le docteur Bachar El Machin est-il plus utile en matière internationale grâce à ses connivences avec l’Iran que le guignol sanguinaire de Tripoli ?
Realpolitik encore … bien loin de la morale ou des grands principes.