"Nous avons fait des progrès significatifs l'année dernière et le climat social s'est amélioré. Mais rien n'est acquis. Ça demande un effort quotidien. (…) Nous sommes entrés dans une phase difficile. Notre modèle économique en Europe est sous pression (ndlr : les salariés aussi ?).
(…)Le portefeuille européen a besoin d'être plus efficace. Dans certains pays, il n'y a plus de croissance !. En Autriche notamment, l'opérateur public français réfléchit, soit à monter à 100% dans sa filiale locale, soit à céder cette participation. Rien n'a encore été décidé, mais le statu quo n'est pas une option" a déclaré Stéphane Richard, le directeur général de France Télécom, dans un entretien accordé au Wall Street Journal.
Voilà qui devrait rassurer les salariés autrichiens. Il n’y a pas à dire, chez France Télécom, ils savent gérer les situations difficiles. Où peut être veulent-ils résoudre le problème autrichien en lançant une vague de suicide dans ce pays.