J’ai été estomaquée de découvrir dans mon UGC préféré l’affiche de La Ballade de l’impossible. Première réaction : non ils ont pas osé ?! Second réaction : le bouquin est sublime, peut être qu’ils ont réussi à en faire un très beau film. Je vais peut être attendre de voir avant de m’affoler. Le lendemain, je retourne dans mon cinéma UGC préféré. Cette fois-ci, j’ai droit à la bande-annonce et ça m’a tourneboulée. Les images, l’atmosphère, les acteurs, j’ai vraiment eu envie d’en voir plus. Ceux qui connaissent l’univers de Haruki Murakami, savent combien il peut être difficile de retranscrire cet univers mélancolique-poético-onirique, malgré qu’il soit très visuel. On pourrait craindre de tomber très vite dans le pathos Je ne sais pas si c’est le roman de Murakami que je préfère. Certains, je ne les ai pas finis. Les Amants du Spoutnik m’avait touchée. Je me suis toujours dit qu’il fallait que je lise Kafka sur le rivage. En attendant, cette adaptation vous donnera sans doute envie de découvrir son oeuvre ou du moins, de re-découvrir celle de Trần Anh Hùng (réalisateur de L’odeur de la Papaye Verte, Cyclo, A la verticale de l’été entre autres)
Et pour la petite anecdote, pour mon tout premier blog, je m’étais inspirée de ce joli nom de livre et l’avais baptisé La Ballade des possibles