En lieu et place d’un discernement des valeurs, des aptitudes, des ambitions, des agissements sporadiques nourries d’intentions farfelues, doublé d’un devoir de vérité et d’un désir âprement voué à élucider les contraintes, et diligenter, une démarche des plus scrutatrices de l’univers politique Africain, un univers, à mon sens, d’entrée, malsain, mortel, assassin et immérité auquel le devoir d’existence, semble vouloir me contraindre , sans réel succès, je me fais un vœu, peut être suicidaire, mais transcendent les barrières assombrissant, obsolètes et déviationnistes, sur fond de tintamarre géant.
Sur ce, je décline l’offre de la Police et je me fixe pour cap, ma passion initiale, quitte à y laisser ma peau, pourvu que le triomphe assure la pérennité des œuvres et consacre la vérité
Étant entendu que, jusque là, on constate une frénésie sans fin et une incompréhension totale, autour d’un certain nombre de faits, marquant de mon parcours, lesquels faits, corroborés par la manipulation et la divagation, font planer un ombre, un doute et le discrédit, sur ma personnalité, pour mieux contraindre mon engagement politique, mon refus de céder devant la tentation perverse des sans valeurs, qui ne m’arrivent même pas à la cheville, de surcroît, s’abreuvent, s’offrent des largesses à travers mes piges et s’illustrant avec la haine incompréhensible et inexplicable qui m’est vouée, sans oublier, ma détermination qui ne souffre et n’entend souffrir d’aucun manquement en matière d’ascension tous azimuts et au motif de l’évocation d’arguments, ne pouvant être intelligible et perceptible, que pour les sens infâmes et les homosexuels et n’existants qu’au nom de la profanation des valeurs et vertus que je me suis inculquées, en n’hésitant devant aucune strass, aucune connivence, aucune frange absolutiste, de déployer une vue imprenable, sur la situation politique de la Guinée, que je parcours et maîtrise de nos jours, malgré la non validation de mon diplôme d’études supérieures, avec une aisance comparable à la promenade d’un bébé dans son berceau, notamment sur le fond et la forme(Bayo Aboubacar, Bouba). Une vue qu’on entendait léguer, à la postérité, en procédant à une remise en cause de l’ordre existant, par une onction qui fut de tout le temps belliqueux, à ne pas s’en offusquer, encore moins en douter. Une onction autre, que celle connue, entérinée, développée, expérimentée et vainement reconduite comme tableau de bord, du leadership politique, et dont les affres de la déconvenue finiront par, désarçonner, s’effilocher, désintégrer et décomposer, l’armature structurelle étatique à chaque fois, que la force, trépidante des mots s’est mise au service de l’aspiration supérieure de la laborieuse population Guinéenne, suivie de la désagrégation, d’un système, connu au bord du gouffre, à l’image d’un géant au pied d’argile, disons un château de carte.
De la combinaison des facteurs, précités, à savoir, la désagrégation et la désintégration de tout un système, de par la jonction, d’un fait, qui ne relève et ne mériterait sous aucun prétexte, à être inscrit, encore moins, prescrit, comme la ressource essentielle, de l’opposition politique, vue qu’elle ne nous mena qu’à une opposition stérile, ethnique, régionale, et non à celle des valeurs, des canevas et créneaux qui permettent de circonscrire le pouvoir et l’empêcher d’étendre ses tentacules à toutes les fonctions organiques de l’état, on retiendra surtout et en dernière instance, surtout la volonté des hommes d’accéder au pouvoir, en s’estimant au creux et dépositaires des connaissances démocratiques standards universels, que seules les pratiques, les usages et le temps ont finis par laisser transparaître les incohérences, les imperfections et leurs caractères illustratifs d’une marque vouée à la transplantation des méthodes et des procédés.
En cela, raviver et booster, l’opposition au moment de son essoufflement, comme un échafaud, constitue la trame du salut et la vocation qui fit du triomphe, un rêve à portée de mains.
Au demeurant, mon sentiment demeur, non-souscrite, au carnet de bord, d’un dirigisme, qui faillit me briser, confina ma vie dans le moule de la déperdition, me colla des origines jamais connues, trouva des doublures pour mieux me noyer, aux fins de désirs macabres, indignes et que je n’ai arrêté de surseoir, en affirmant devant qui veut et souhaite l’entendre, ma démarcation et ma prise de position définitive, à mon nom, même si à un moment donné, ma nature faite d’indulgence, me faisait plier aux caprices de l’approbation inconsidérée.
En définitive, je retiens les actes et les faits, mais non les invectives et les discours vindicatifs, comme support d’action, en adressant un avertissement d’envergure et soutenu, depuis Paris, à Conakry, qui a décidé contre bec et ongles et d’innombrables risques, de céder à la tentation de la fourbe, au démon du pouvoir, à la volonté des homosexuels, pour en appeler, au sens élevé de la dévotion, de tout ceux vivant mon quotidien, sans se faire rapporter, s’y perdent et s’y assujettissent, sous le poids incommensurable de la rengaine des sauvages, dont la vie ne tient qu’à l’usage disproportionné de leur cul…
Ps: Pas plus tard, que quelques jours, en arrière, on me fit parvenir de Conakry, un lien me proposant de devenir ami, avec un islamiste radical, pour non seulement me faire passer pour un Arabe contre ma volonté et dont j’ignore le motif, un terroriste alors que mon casier judiciaire ne fait acte ou mention d’aucun fait de ce type, et me discréditer auprès des USA, en apprenant juste, que je bénéficie d’une résidence permanente aux USA, délivré par le gouvernement Américain. Sur ce fameux blog que j’ai accepté, il y figure des attaques ciblées contre l’Amérique et la personne de G Bush.
Pour ce faire, je j’appartiens plus au RPG depuis belle lurette, encore moins l’UFR, que je n’ai jamais fréquenté en France, quand à l’UFDG, n’en parlons même pas, en déniant pas le fait que je continue à méditer sur la posture à adopter, car, de toute vraisemblance, le combat pour la liberté et la justice, ne font que commencer.
Les homosexuels ne me font pas craindre et peur, par contre, je ne lâcherai jamais du lest, sur ce qui me revient, comme un héritage du sang…..
Sur ce, je décline l’offre de la Police et je me fixe pour cap, ma passion initiale, quitte à y laisser ma peau, pourvu que le triomphe assure la pérennité des œuvres et consacre la vérité, tout en me délivrant de cette malsaine et modique agissement de mon cercle environnant….