Ghostpoet possède indéniablement un style, un univers qui lui est très personnel. Comme lors de la découverte d’une nouveau continent, on est ensorcelé par ce mélange électro-rap ultra-minimaliste, ultra-novateur, au design tout en rondeur, presque médical.
Cash and Carry Me Home nous conte une soirée bien trop arrosée, mais loin des beuveries dégoutantes, cela reste hype, et très propre. Sa voix (qu’on dirait mal réveillée, mais juste parfaite ici) plane au dessus des courbes arrondies de la musique comme propulsé par un moteur futuriste de science-fiction. Un pas vers le 22ème siècle! Une chanson d’anticipation.
C’est tout à fait surprenant et captivant.
Pour les parisiens, sachez qu’il sera à la Machine du Moulin Rouge le 10 juin prochain.
Le clip du morceau est à découvrir juste après le break
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Mots-clefs : Brownswood Recordings, Ghostpoet
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