Il est très rare que je cuisine de la viande rouge et pour cause, je sais pas faire.
Alors quand j'ouvre mon congèl et que je vois toute cette viande dont ce rôti de macreuse qui vient de chez belle-maman, je me demande comment m'y prendre!!! Pauvre bête, il avait pourtant l'air heureux dans son pré ce gros pépère.
Et dans ces moment là, les petites fées du net qui n'hésitent pas à poster des recettes même les plus simples me sauvent la mise.
Cette fois c'est dans la p'tite cuisine d'Audrey que j'ai trouvé mon bonheur. D'abord dubitative face à cette recette de boeuf et vin, tout ce que je ne cuisine jamais, j'ai quand même fais confiance à Audrey et je n'en suis pas déçue. C'était vraiment très bon et très moelleux. Faut dire aussi qu'elles sont bichonnées les grosses bêtes à cornes chez belle-maman.
Rôti de macreuse en cocotte de chez Audrey
Ingrédients :
- 1 kg de macreuse ficelé comme un rôti
- 500 g de carottes
- 500 g de pomme de terre
- 1 cube de bouillon de boeuf
- 1 oignon jaune
- 1 gousse d’ail
- 1 branche de thym
- 75 cl de vin rouge
- Sel, poivre
Faire chauffer de l'huile dans une cocotte et y faire dorer le rôti.
Ajouter l'oignon émincé et l'ail.
Ajouter le thym(du jardin c'est encore mieux), le vin et 25cl d'eau. Couvrir, baisser le feu et laisser mijoter 2h30 en retournant le rôti de temps en temps.
Au bout de ce temps, ajouter les légumes épluchés et coupés en gros morceaux et cuire encore 30 minutes.
Servir quand c'est encore tout chaud et se régaler.
Aller, pour rester dans le milieu agricole, un autre livre excellent avec un humour assez bourru comme j'aime.
Présentation de l'éditeur
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.