Dans les deux articles précèdent je donner un peu les points de vue des uns des autres, j'essayer de voir ce que tous pensent et disent sur ce problème.
Ainsi après avoir détaillé, expliquer les divers projets, etc., de la ville.
Là, si je puis dire, ce fut le côté vu par la municipalité.
Maintenant voici succinctement le côté vu par les commerçants qui semblent être le suivant :
"Cette situation est insupportable. Les travaux vont certes rendre cette rue plus attractive, mais combien de magasins seront encore là à la fin du chantier pour en profiter ?" aiment à signaler une commerçante (3).
Donc oui, le regard des commerçants lui-même et sommes toutes beaucoup moins beau, rose qu'il n'en avait l'air au départ.
D'abord, perte de clientèles, plus de possibilités pour s'est mêmes clients et/ou les commerçants eux-mêmes de se garer à proximité de leurs lieux de travails et aussi et surtout, baisse incroyable de leurs chiffres d'affaires (baisse de leurs chiffres d'affaires estimer entre 40 et 80 %) (4).
La rue Thiers étant quasiment boucher aux niveaux achats et/ou locations de "Pas de portes" et s'en doute ceux-là sont-ils aussi assez excessif dans les loyers, etc., alors ils leurs restes s'est fameuses rues là pour officier.
Dites-moi, qui et aux courants qu'ils y à quelques commerçants rue Assegon, rue de la Charentonne (coté boulevard Dubus) rue de Morsant, rue de Lisieux, rue G. Vallée ?
Certains (et je les déjà dis) interpelle le maire lors de sa promenade rituelle du samedi matin et/ou si celui-ci et en ville en semaine pour lui dire "Mr le maire nous aurions des doléances à vous faire" et de s'entendre répondre "Prenez rendez-vous avec mon secrétariat" avouons que là, le maire joue une mauvaise carte.
Alors, après, je crois qu'avant de dires, de pleurer sur "La mort des petits commerces à Bernay" il serait bon aussi je crois de voir les bilans comptables des commerçants sur lequel les travaux auraient eu mauvaises,augures - mauvaises allures.
Et aussi de relativisé réellement sur les pseudos morts de certains.
J'ai lu et vue sur un blog parlent lui aussi de Bernay une photo (que d'ailleurs j'ai moi-même prise quelques semaines au paravent, rire) d'un cafetier qui laisse entendre à qui le veux que ce serait entre autres grâces aux travaux dans sa rue s'il dépose le bilan, s'il est contraint, comme il le dit "A un problème de trésorerie" de fermer boutique et de quitter la ville.
J'ai cru lire aussi que celui-ci était en redressement judiciaire (ce qui est malheureux pour lui soit), mais, sincèrement, peut-on alors imputer à la ville en elle-même ce fait-là ?
Est-ce à la ville de se sentir coupable si ce cafetier se retrouve avec des ardoises pour certains de près de 1000 euros ?
C'est pour cela que je dis oui, c'est travaux ont s'en doute fait du mal à certains commerçants de cette longue rue, mais de là à rendre la ville coupable de tous les maux de ceux-là il y a du chemin non ?
Certaines boutiques de ce quartier du "Pont Ravet" avaient baissé leurs rideaux bien avant les travaux, d'autre avais caché leurs vitrines s'en doute pour faire la surprise d'une décoration spécifique à un évènement comme les fêtes de pâque, d'autre sont en travaux, d'autre oui, on belle et bien fermer, mais sur quels critères ?
Le magasin d'instrument de musique qui avait un temps acheter deux pas de porte pour s'agrandir en à céder un et donc voilà encore un magasin rideau baisser, etc., etc.
J'ai eu l'occasion de discuter avec un des membres de "L'UCIAL" je lui et dis "Ne faudrait pas des magasins fédérateurs, locomotifs pour drainer un retour de la population dans ce quartier exemple boulanger – cafetier - tabac, etc.".
Celui-là me répondis que s'en doute "L'UCIAL" n'avais, n'aurait pas très envie d'écouter les idées neuves et/ou les idées qui œuvrerez pour un rééquilibre générale du commerce local.
Déjà, ceux-là ont deux versions de leurs assemblées générales une privé si je puis dire et une seconde publique.
J'avoue la ne pas trop avoir compris le pourquoi, mais bon.Auraient-ils alors des choses à cacher ?
Auraient-ils peur que de vrais débats entre les habitants et les commerçants s'ouvrent et leurs montres alors là où les bâts blesseraient ?
Alors bon, avant de crier aux loups, avant de fustigée la municipalité (que ce soit Mr Maurey le maire ou pas d'ailleurs) et/ou les grandes surfaces (Leclerc – Intermarché - Lidol – Aldi and co) sont honnête messieurs les opposent municipaux avant de faire peur à la population.
S'en doute l'opposition qui a acquis un local de parti rue du maréchal Leclerc s'inquiètent-ils de ne voir personnes venir discuter avec eux outres leurs sympathisants et ainsi ont-ils que vent de certaines doléanceset s'en sont donc servit comme d'un cheval de bataille, sorte de "Don Quichotte" locale qui sais.
Alors bien sûre, avec s'en doute une fière intelligence (rire), l'opposition à demander au maire suivi parcertains commerçants de c'est rues lésées, une aide financière, un geste amical
de la part de la mairie, pourquoi pas quelques parts, mais bon.
Donc encore un nouveau débat de l'inutile, car le maire répondras très vite à cela pour ne pas créais de faux espoirs à ceux-là.
Ce à quoi donc le maire en toute bonne conscience politique répond "J'aimerais savoir quelle ville a un jour indemnisé des commerçants à la suite de travaux menés justement pour dynamisé le commerce local ?" (5).
Le maire poursuite son propos pour répondre à une demande d'allégement de la taxe foncière ceci "Quant aux remises de taxe, c'est tout simplement illégal" (6).
Nous avons affaire-la à un maire réponses à tous ou simplement un homme malin et sûr de s'est acquis en matière de lois et de gestion municipale ?
Ou encore celui-ci nous lance-t-il juste quelques belles pirouettes manipulatoires pour endormir ceux-là ?
J'ai aussi l'impression (mais je me trompe évidement) que sachant que l'opposition, à un local de permanence dans ce quartier-là ils se sont s'en doute demander pourquoi personne ne venez les voir ?
Sachant la encore que le dis locale n'est ouvert que le samedi matin, donc oui, pourquoi personnes ne viens et s'en doute aussi ayant écouté certaines doléances du quartier encore, ceux-là se outillé d'une belle épée et tel "Don Quichotte" les voilà bataillant pour sauver du gouffre les petits commerçants locaux.
Alors s'il vous plaît, parlons, expliquons-nous avec eux pour réellement savoir, comprendre à quel taux sur une échelle de 1 à 10 la ville et en tort ?Oui, sur une échelle de 1 à 10 à quel taux peut s'élever la propre responsabilité des commerçants eux-mêmes, etc. ?
Car pour ma part, je me dis que si cette fameuse opposition tire s'en cessent la sirène d'alarme c’est plus pour que l'on s'intéresse à eux que par réelle solidarité sociale vous ne croyiez pas ?
Alors, je sais qu'il n'est pas facile pour les clients lambda de dépasser la place st Croix, d'aller plus loin dans ses rues là.
Alors, enfin, des solutions sont mises à la réflexion, sont en train de mûrir au sein "L'UCIAL" et des regroupements de quartiers pour faire et voir la faisabilité de par exemple :
1 - Le rallongement du marché du samedi matin jusqu'au coiffeur qui fait l'angle entre la rue Leclerc et la rue Lobrot.
2 - Créaient des animations commerciales spécifiques pour réamorcer le dynamisme latent du quartier.
3 - Se servir de la "St Anne" (fêtes tant apprécier des Bernayens entre les années 1930 – 1960) pour rendre vivant le quartier, etc., etc.
Alors, d'un côté "L'UCIAL" tente de minimiser les grognements de ceux-là face à ceux de la rue Thiers.
Le prétexte de base et qu’eux aussi furent un temps pas si lointain (2007 - 2008) avait essuyé les mêmes inconvénients, en disent en gros que "Les travaux ont bloqué l'entrée de la ville.
Ils ont donc concerné tout le monde, et pas seulement les commerçants de la rue Leclerc" (7).
Alors, de quel point de vue ce souci est-il vu ?
Oui, la grogne et sommes tous là vue sous l'angle de commerçants face à leurs confrères.
Donc, cette flopée de débats, de luttes me semble en fait être interne (intestinales ais-je envie d'écrire) et dont les habitants de devrais pas payer les frais tant moralement que financièrement, je crois.
Car j'ai envie de déplacer le problème sur un autre point de la ville, sorte de poumon, oui, que peut-ont faire pour dynamisé par exemple la place st Croix qui semble, elle, aussi bien morte ? (8).
Mais, ah, ah, ah… Cette problématique va s'en doute s'estomper au fil des semaines, car la fin des travaux, promet la mairie, devrait avoir lieu vers la mi-avril 2011 même si j'ai demandé aux ouvriers directement et l'un d'eux ma répondus "Vers le 29 !" je leurs dis "LE 29 de quels mois, de quelles années ?" et l'un d'entre eux avec sourire me dis "Le 29 avril 2011".
Donc voyez-vous, toute peine touche à sa fin non ?
Ce qui ne doit pas nous empêcher de tabler plutôt sur la mi-mai telle que c'est parti (rire).Alors en conclusion, mes chers lecteurs, mes chères lectrices (ça sonne discours politique bouh, rire), s.v.p., sortez, vivez, achetez, discutez avec vos commerçants préférés, mais surtout, faites les travailler tous pour le bien-être de la communauté, merci pour eux…
(1)Article du journal "Paris-Normandie" des 8 janvier et 29 mars 2011 titré "Ca à trop duré !" et "Une clientèle à reconquérir" signée par Magalie Prince.
(2)PN du 08-01-2011 [pages 18].
(3)PN du 08-01-2011 [pages 18].
(4)PN du 08-01-2011 [pages 18].
(5)PN du 08-01-2011 [pages 18].
(6)PN du 08-01-2011 [pages 18].
(7)PN du 29-03-2011 [pages 25].
(8)Voir photo de la place st Croix.
Photographie "Rue Maréchal Leclerc - place st Croix" par le citadin avril 2011©®.
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