En quatre années passées à protéger la Terre de toutes sortes d'invasion extraterrestre, l'agent J, qui travaille secrètement au quartier général des Men in Black, n'a toujours pas trouvé de partenaire avec qui faire équipe. A la suite d'un crime étrange impliquant des extraterrestres, l'agence découvre l'existence d'un redoutable complot menaçant notre planète. Serleena, une maléfique séductrice qui a pris l'apparence d'un top-model en lingerie fine, est prête à tout pour accomplir son sinistre dessein. J a absolument besoin des services de K, son ancien partenaire qui n'a plus aucun souvenir des MIB et travaille dorénavant à la Poste. J va devoir par tous les moyens le faire sortir de sa retraite...
MIB 2 (2002, 1h30), film américain de Barry Sonenfeld, avec Will Smith, Tommy Lee Jone, Patrick Warburton…
Depuis la retraite de K (Tommy Lee Jones), J (Will Smith) ne parvient pas à lui trouver un
Serleena débarque au centre du MIB, munie d’atouts certains, des doigts tentaculaires notamment. Prête à saccager l’agence, c’est toute la planète qui est en danger. Une menace qui nécessite même que K sorte de sa retraite pour assister son ancien partenaire. Or, K a été rendu amnésique et recouvrer la mémoire ne sera pas si facile. Voilà les deux compères réunis dans une course contre la montre…
Alors que le premier opus avait des arguments à faire valoir, MIB 2 sent le réchauffé. Les gags et le ton sont les mêmes. Un peu trop en fait. Ce qui faisait le charme de Men In Black était aussi l’effet de surprise, le cheminement de J pour accepter la situation pour se rendre compte que, finalement, ce n’est pas si différent que son job de policier. Ici, nous sommes directement dans le bain. Ça court, ça explose, à la manière d’un Bad Boys où Will Smith est aussi à l’affiche (on doit même être plus ou moins à la même époque).
Certes, le film est efficace. On s’amuse de retrouver certains personnages du précédent ainsi que des références évidentes (musiques, scènes, répliques, etc.). Mais Men In Black 2 manque de caractère à mon goût.
Note :
Les Murmures.