C’est en checkant les commentaires sur mon blog en fin de journée que j’ai du me rendre à l’évidence : quelque chose avait changé. Là, du côté droit, mes quelques lecteurs habituels avaient laissé la place à une horde de jeunes virtuoses du web.
Pas d’autre solution : il m’a fallu replonger dans le truc de stat que je ne vais plus jamais voir maintenant que je suis loin de Google; c’est forcément beaucoup moins drôle quand il n’y a plus de requêtes ébouriffantes à décortiquer.
Et là, l’origine de cette déferlante m’apparût : il avait parlé de moi. Mais c’est dingue, t’as combien de lecteurs Gonzague ??? (Si t’en as que 200, ça veut ils ont tous cliqué sur mon nom pour connaître l’identité du cinglé qui s’apprêtait à t’accueillir 2 mois)