La question de Gonzalo sur l’importance de la documentation dans nos collections de bibliophiles serait restée lettre morte si Hugues de l’avait pas reprise dans un billet précédent. Je vais tenter d’y donner à mon tour une réponse illustrée de références.En ce qui concerne ma stratégie d’achat, je donne toujours la préférence à l’enrichissement du coeur de ma collection bibliophile plutôt qu’à des achats de documentation parfois très onéreux. Ainsi je ne possède ni l’O.H.R. ni aucun Brunet. On me retoquera que maintenant le Brunet est en ligne, mais, pour moi, ouvrir 5 ou 6 volumes en même temps sur une table ou au sol reste un plaisir quand ouvrir six fenêtres sur l’écran demeure un casse-tête. Quant à l’O.H.R., je le consulte en bibliothèque après échec des recherches dans mes quelques armoriaux.
Viennent ensuite, les livres sur les bibliothèques (Compiègne, le Sénat, la Mazarine ...) et quelques uns, trop peu nombreux, sur les bibliophiles eux-mêmes, Raoul Warocqué ou le duc d'Aumale, le "Mignonne, allons voir...fleurons de la bibliothèque poétique Jean Paul Barbier-Mueller" (2007) qui me fait regretter ne pas posséder les 7 tomes (ou plus déjà?) de "Ma bibliothèque poétique".
Lauverjat