Mardi soir s’est donc déroulée la soirée organisée par Montaine réunissant moult artistes de spectacles vivants : des conteurs aux jongleurs de boule de cristal en passant par les musicien-chanteur et le mime.
J’ai été convié à couvrir l’évènement en photo (ce qui m’a honoré), et malgré les conditions d’éclairage, j’espère que vous apprécierez le photreportage et que cela vous donnera un aperçu de l’atmosphère de la soirée.
Bien qu’absorbé par mon travail, j’ai été fasciné par nombres d’artistes que je n’aurai pas rencontré autrement. Il y avait beaucoup de poésie, d’émotion, et j’ai vraiment passé une excellente soirée, je pense que le sentiment était partagé parmi les spectateurs. Peut-être Montaine a-t-elle été un peu frustrée d’avoir eu son travail d’artiste préempté par son travail de coordinateur, sentiment que j’ai connu quand je dirigeais une revue littéraire et que j’écrivais par ailleurs…. mais d’une part tout le monde se souviendra positivement de la soirée, d’autre part même si la prestation de Montaine fut courte sur la fin, elle fut totalement dans le ton sur l’esprit du Japon, ce qui n’était pas forcément le cas de toutes les performances, aussi intéressantes fussent-elles. Finalement cela a renforcé mon intérêt pour découvrir son travail, et éveillé ma curiosité par rapport à d’autres artistes que je reverrai avec plaisir.
Je n’ai pas eu le temps de mettre le nom de tous les artistes sous leur photo donc dans l’ordre :
Patrick Pieczonka, Miki Tajima, Sharon Evans (c’est quoi ce petit instrument de musique génialissime ?), Cécile Collardey et Kévin Jourdan, Albert Sandoz, Aurélie Dalmar, Tin Lê, François Chat, Nidal Qannary, Fabienne Morel et bien entendu Loisier Montaine.
Notons qu’en dehors des diverses prestations la soirée a été l’occasion de se recueillir et de réfléchir à certains évènements. La soirée a été introduite par la lecture des tweet de David Michaud. L’histoire d’Angelo Di Genova, inspirée d’une histoire vraie, Susumu, l’homme de la mer, l’homme qui a affronté le tsunami, qui a sauvé son bateau et qui a pu par la suite faire la jonction entre l’île d’Oshima et l’extérieur. Je vous invite à lire l’histoire ici. N’oublions pas le texte de Dominique Motte , sans oublier Richard Collasse qui a autorisé la lecture d’un extrait de son ouvrage truculent La trace publié aux éditions du Seuil.
Montaine en dehors des remerciements des personnes susnommées pour leur participation directe ou indirecte a également remercié les blogger qui ont soutenu l’évènement, mon camarade Jack de Ten Ryu, notre ami Léo de Budo no Nayami, ainsi que Gaël et Caroline.
N’oublions pas les petites personnes de l’ombre qui ont également participé comme Yves Dalmau le caméraman (oui l’évènement a été filmé !) ainsi que l’équipe de la péniche Anako, et je dois admettre que ce coin de Paris fut une agréable surprise et découverte pour moi, et je retournerai me promener le long des quais avec plaisir à l’occasion.
Grand merci à toi Montaine.
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