Je suis à la bourre, grave de chez grave comme on ne doit plus dire en djeuns, mais j’ai quelques métros de retard question langage à la mode. Les copies, celles qui ont fait des petits pendant ma virée à Paris, sont en cours de traitement, façon sauce à l’encre. Le pire, c’est qu’elles me tombent des mains, or demain il faut que l’affaire soit pliée, j’ai pas que ça à faire : à partir de samedi, j’ai week-end à la mer.
Bref, tout ça pour présenter mes plus plates excuses pour l’hyper brièveté de la note de ce jour. Retour à Paris, jardin des Tuileries, un mercredi matin peu après l’ouverture du musée du Louvre. Evitant, mais de très peu, l’arrosage automatique, je me faufile entre les buissons, à la recherche de jolies jeunes filles, à savoir les sculptures réalisées par Aristide MAILLOL essentiellement dans les années 20 et 30, et disposées dans un judicieux hasard à la demande d’André MALRAUX, lorsque celui-ci était ministre de la culture. Petit diaporama :
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